Le verdict de l’affaire qui oppose le modèle de chaussures de Kanye West à l’entreprise japonaise Toki Sen-I semble être favorable au rappeur. Le juge Cotton de la Cour Supérieure de Californie à Los Angeles a en effet demandé à la partie nippone de produire les preuves des accusations portées contre Yeezy. L’autorité judiciaire a fixé une autre rencontre entre les deux camps pour le mois d’août. Ce nouveau rendez-vous aura le mérite de clore totalement ce dossier ou de le relancer.
Yeezy, une simple coquille vide selon Toki Sen-I
Cette procédure judiciaire initiée par l’entreprise japonaise Toki Sen-I Co avait pour objectif de faire condamner l’époux de Kim Kardashian pour non paiement d’une commande passée via son label Yeezy. Selon la plainte déposée par la structure nippone, la somme incriminée est évaluée à 624 000 dollars, soit 550 000 euros. Elle correspondait à une commande de 50,000 mètres de tissu faite par le label Yeezy.
Dans la presse, Toki Sen-I Co qualifiait le label Yeezy de « Simple coquille vide sans capital, atouts, intérêts de partenariats ou membre autre que Kanye West conçu et utilisé par Kanye West pour se protéger de toute responsabilité individuelle ».
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