Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un et le président Trump se rencontraient en un sommet improvisé et un signe encourageant de dégel des tensions, le mois dernier, dans une zone démilitarisée de Corée. Les deux parties étaient alors convenues de reprendre les pourparlers sur le démantèlement nucléaire et la prolifération d’armes de très longue portée, interrompus au sommet de février au Vietnam. Mais ce mercredi, Kim faisait plusieurs essais de tirs balistiques.
Des tests en toute innocence…
En Novembre 2017, alors même que Les résolutions des Nations Unies avaient interdit à la Corée du Nord de lancer des missiles balistiques de toutes sortes, la Corée du Nord lançait le Hwasong-15, un missile balistique intercontinental capable d’atteindre la partie continentale des États-Unis. Depuis rappelé à l’ordre, Pyongyang avait refréné ses ardeurs. Mais il y a une semaine, La Corée du Nord aurait lancé deux missiles à courte portée.
Ces missiles auraient parcouru 267 milles et 430 milles, avant d’atterrir dans les eaux entre la Corée du Nord et le Japon ; de simples « armes tactique à guidage de type nouveau » selon Pyongyang, mais pour les autorités sud-coréennes voisines, un nouveau type de missile balistique à courte portée, similaire au missile balistique russe ‘’Iskander’’.
Six jours plus tard, donc ce mercredi 31 juillet , Kim Jong Un réitérait les essais en lançant depuis une minuscule péninsule du sud du Hamgyong en Corée du Nord, deux autres essais de tirs balistiques. Et selon les autorités sud-coréennes qui auraient relayé l’information ; auraient déclaré en substance ; « La récente série d’essais de missiles menée par la Corée du Nord n’aide pas les efforts visant à apaiser les tensions dans la péninsule coréenne et nous exhortons le Nord à mettre un terme à ce type d’acte ».
Laisser un commentaire