Bebi Philip : Ses confidences sur sa relation avec Dj Arafat

Bebi Philip (Photo DR)

Deux mois après le décès du patron de la « Yorogang », des hommages continuent de pleuvoir de la part de ses anciens collaborateurs. Bebi Philip qui avait participé à l’arrangement de sa célèbre chanson « Kpangor » a confié les relations qui le liaient à l’illustre disparu. Il a également indiqué avoir beaucoup de regrets à cause des projets qu’il n’a pas pu concrétiser avec lui. N’guessan Bebi Philippe Amessan à l’état civil, a notamment rappelé que la cohabitation avec le commandant Zabra n’a pas été que pacifique.

Une nouvelle collaboration allait naître après « Kong »

On se rappelle encore de la brouille qui a conduit les deux hommes à cesser leur collaboration sur le plan professionnel. Cette rupture avait entre temps amené celui qui est considéré comme  le roi du coupé-décalé à voler de ses propres ailes. Mais selon les déclarations de l’interprète de « Chevalier de Dieu », toute cette mésentente s’était produite à une période où il n’avait pas encore trouvé son chemin de Damas.

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Après sa rencontre avec Dieu, Bebi Philip indique qu’il est allé faire la paix avec lui et une nouvelle collaboration allait voir le jour. « Je suis allé le voir pour enterrer la hache de guerre, et on avait prévu de faire un titre ensemble. Il m’avait dit qu’après « Kong », on allait le faire mais hélas Dieu en a décidé autrement » fait-il observer. C’était également l’occasion pour Bebi Philip de reconnaître les talents du patron de « Chinois » de la Côte d’Ivoire.

DJ Arafat : comment sa mort a changé Bebi Philip 

Il indique notamment que Dj Arafat après leur séparation avait eu à relever un défi à cause de tout le travail qu’il a dû abattre. «  Voilà pourquoi je dis qu’Arafat est le symbole du courage, de l’abnégation, la détermination et la rage de vaincre » a-t-il reconnu. Sur l’information relative à l’annonce de sa mort, il confie avoir cru un instant à un coup de « Buzz » auquel l’interprète de « Moto-Moto » avait habitué tout le monde.

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