A Washington, l’affaire de la destitution du président américain Donald Trump continue de faire parler d’elle. Après les informations révélées par un lanceur d’alerte qui accuse le locataire de la Maison Blanche d’avoir notamment demandé à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky d’enquêter sur le démocrate Joe Biden, le milliardaire s’est récemment défendu contre ces allégations en dénonçant un coup d’état. En effet, l’ex-magnat de l’immobilier a fait savoir sur Twitter que la situation qui se produit actuellement est un coup d’état plutôt qu’une procédure de destitution.
Les droits des américains attaqués
Pour Donald Trump ce push a pour but de retirer de la main des américains ses libertés, son vote, ses droits attribués par Dieu qui leur confèrent le titre de citoyens des USA, sa religion, son mur à la frontière, son armée et son deuxième amendement qui vient de la constitution.
Hier mardi, le secrétaire d’Etat américain avait accusé les démocrates de vouloir intimider les cinq haut diplomates qui doivent être entendus par le Congrès dans le cadre de l’enquête ouverte en vue de la destitution du président américain.
Donald Trump rejette ces accusations
Rappelons que les accusations faites par le lanceur d’alerte se basent sur un appel téléphonique du 25 Juillet 2019 entre Donald Trump et son homologue Volodymyr Zelensky. Durant cet entretien, le locataire de la Maison Blanche avait demandé à ce dernier l’ingérence de l’Ukraine dans les élections présidentielles de 2020. Celui-ci nie en bloc toutes ces accusations et affirme que son entretien avec le président ukrainien s’était déroulé dans le respect des règles.
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