Carlos Ghosn : Les révélations sur sa conversation secrète avec Sarkozy

Carlos Ghosn, le super PDG aujourd’hui en, refuge au Liban depuis son évasion spectaculaire ; il y a quelques jours de sa résidence surveillée au Japon ; levait dans une interview sortie ce jeudi , un pan de voile, sur la nature des relations qu’il entretenait avec le chef d’état français. A Paris-Match, l’ancien PDG de Renault et de Nissan, avait laissé entendre que quelques semaines avant son « départ » du Japon, le président français, lui aurait fait parvenir une missive par l’intermédiaire de l’ancien chef d’état français, Nicolas Sarkozy.

Pas d’amitié, mais pas d’ « animosité » non plus

Le 22 Octobre dernier, le nouvel empereur japonais, Naruhito, se faisait introniser et son protocole avait pour l’occasion convié bien des personnalités dont le chef de l’état français, Emmanuel Macron. Mais le président déjà en déplacement dans les départements d’outre-mer, ne pouvait honorer cette invitation et aurait de ce fait sollicité la contribution de son prédécesseur, Nicolas Sarkozy. Un choix guidé selon l’Elysées par « la marque de respect » du peuple français pour le peuple japonais qui, pour cette intronisation se devait d’y envoyer « une personnalité de très haut niveau ». Mr. Sarkozy, remplissait alors au Japon, son office d’émissaire de classe exceptionnel auprès de l’empereur, mais pas seulement ; puisque selon Paris-Match, son rôle d’émissaire il l’aurait rempli également auprès de Carlos Ghosn.

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Dans son entrevue avec le magazine français, le ‘’super PDG’’ avait révélé qu’à la même période, il aurait ; « reçu, (…) la visite du président Sarkozy (…) porteur d’un courrier du président de la République ». Un courrier dont Ghosn, catégorique avait refusé d’en livrer la consistance. Cependant, avait tenu à préciser l’ancien patron de Renault ; alors qu’il avait été très déçu de se voir « lâché » par les gens de chez Renault, les relations qu’il aurait entretenu avec le président Macron, n’auraient souffert elles d’aucunes formes particulière d’ « animosité ». Puisque, lui Ghosn avait choisi de n’être pas un « un chef d’entreprise (…) béni-oui-oui » ; il y avait bien eu avec l’Élysées « des désaccords », mais rien, au point de devoir qualifier ses relations avec Emmanuel Macron de « notoirement mauvaises ».

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