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Gambie : le virage autoritaire de Barrow qui refuse de tenir une promesse électorale

Par Romaric Sy
il y a 12 mois
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Les élections présidentielles gambiennes de 2016 avaient entraîné le départ de l’ancien président Yahya Jammeh. Adama Barrow, le nouveau dirigeant du pays a pu accéder au pouvoir en étant à la tête d’une coalition de partis politiques opposés à l’ancien homme fort de la Gambie. La coalition avait prévu que le nouveau président dirigerait un gouvernement provisoire pendant trois années et qu’il organiserait par la suite des élections. Cependant l’année dernière, certains membres de l’alliance ont donné leur accord pour amener la durée d’Adama Barrow à la tête du pouvoir à cinq ans, conformément à la constitution. Cette décision a été rejetée par deux partis, mais également par une frange de la population.

Un mouvement « suversif, violent et illégal »

Des manifestations ont été organisées sous la dénomination Three Years Jotna (trois ans se sont écoulés en Wolof), par des milliers de Gambiens pour contester le maintien au pouvoir d’Adama Barrow. Ce mouvement a été interdit le dimanche dernier par le gouvernement, qui l’a qualifié de « subversif, violent et illégal ». Deux stations de radio King FM et Home Digital FM ont été suspendues « pour avoir colporté des messages incendiaires » et pour avoir amené les Gambiens à prendre part au mouvement Jotna. Dans un communiqué, le gouvernement a indiqué que les forces de l’ordre ont arrêté près de 137 manifestants.

 Aucune déclaration des stations suspendues

Le porte-parole du gouvernement Ebrima G Sankareh a fait savoir que les manifestants étaient « déterminés à renverser illégalement le gouvernement constitutionnellement élu ». Selon lui le groupe n’avait aucune existence légale. Par ailleurs Ebrima G Sankareh a mis en garde les médias contre la promotion du programme des manifestations. Les stations de radio suspendues n’ont fait aucune déclaration concernant leur situation.

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