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Canada : Huawei nie avoir pillé la technologie d’un ex-géant des technologies

Par Rodrigue Gozoa
il y a 11 mois
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En 2009, Nortel Networks Corporation, une entreprise publique, un géant canadien de fabrication d’équipement de réseautage de données et de télécommunication, était sur le point de s’effondrer. Une faillite à laquelle n’aurait pas été étranger, Huawei qui était alors encore un fabricant chinois d’équipements de communication peu connu. Mais alors que le Canada était, présentement entrain de décider comment collaborer avec le désormais géant chinois, Huawei, dans la mise en place de son réseau sans fil 5G, la saga Nortel refaisait surface.

Un géant regretté

Nortel avait  été l’une des sociétés de technologie les plus anciennes du Canada. en 1976, la société prenait un tournant important en orientant l’essentiel de ses activités sur le développement du digital. Un secteur très porteur, puisqu’en 2000, la société employait environ 94 000 personnes à travers le monde et était classée « au neuvième rang des sociétés les plus importantes du monde ». Mais En 2009, Nortel déposait le bilan, et trois années plus tard en 2012, le Wall Street Journal (WSJ) révélait pour la première fois que le géant canadien avait été victime de piratages massifs « à partir d’adresses IP chinoises ».

Courriels, documents techniques, rapports de recherche, développement et plans d’affaires ; des tonnes d’informations sensibles avaient été « volées » sans que la société ne puisse pas grand-chose.  Surtout que certaines « portes dérobées », par laquelle les hackers seraient passés, auraient été posées par des cadres de Nortel. Et derrière ce piratage massif, avait été désignée la Chine qui aurait fait profiter de l’objet de son « larcin », une jeune entreprise de technologies et de télécommunications chinoises aujourd’hui, pionnier dans le domaine, Huawei. Des accusations que la compagnie de Shenzhen, avait toujours réfuté.

Huawei sur le banc des accusés

Pourtant il y a quelques jours, un quotidien de Toronto, le National Post, publiait en son site en ligne un dossier sur l’implication probable de la Chine dans la chute de Nortel. Selon l’article, pour de nombreux experts et certains anciens employés de Nortel dont Brian Shields, ancien conseiller en sécurité de Nortel ; il était clair que « Huawei aurait piraté l’entreprise pendant près de 10 ans ». Pour étayer ses propos, le quotidien se serait basé sur les récentes conclusions d’enquêteurs américains aux USA qui auraient établi que l’espionnage faisait partie des pratiques courantes de l’entreprise chinoise et sur le fait insolite, que de nombreux anciens cadres de Nortel, se soient de facto après la liquidation de Nortel, retrouvés cadres à Huawei.

Mais à ces accusations le fondateur de Huawei, Ren Zhengfei, répondait qu’à l’époque de Nortel « la 3G venait de commencer à se développer dans le monde » et que depuis elle était passée à la 4G puis à la 5G. Et que malgré sa pointe, «  Nortel ne disposait pas de la technologie dont nous parlons aujourd’hui; ils n’avaient que des personnes talentueuses». Aussi Huawei avait-elle su les attirer et « ils ont apporté à Huawei, c’est ce qu’ils avaient en tête. Il ne s’agit certainement pas de vol de propriété intellectuelle. »

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Commentaires 1

  1. jacky dit :
    21 avril 2020 à 21:46

    malheureusement pour pouvoir accuser il faut des preuves, et pas seulement des doutes,
    nos amis “anglo-saxons” comme on les appelle chez nous ont l’habitude de jouer à ce genre de jeu,
    mais la comme dans le commerce, avec les chinois, ils ont trouve des adversaires à la hauteur de leurs prétentions

    Répondre

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