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France : Griveaux menacé, les autorités prennent une décision

Par André Sagbo
il y a 11 mois
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On sait que Benjamin Griveaux n’est plus candidat à la mairie de Paris. Le candidat officiel de LREM avait dû démissionner de sa candidature suite à la diffusion sur internet de vidéos et d’une correspondance intime dont il serait l’auteur. Il démissionne pour protéger sa famille, avait-il déclaré. Cependant, c’est bien lui qui doit être protégé aujourd’hui. L’homme est désormais sous la protection rapprochée du Service de la Protection (SDLP).

Depuis ce samedi, Benjamin Griveaux bénéficie donc d’une protection rapprochée de la SDLP. Il est constamment protégé par deux policiers de ce corps d’élite de la police nationale chargé de la protection rapprochée et de la sécurité au profit des dirigeants ou ex-dirigeants de la République française, des hôtes étrangers de la France ou bien encore de personnes spécialement menacées. Les raisons qui justifient cette mise sous protection rapprochée sont les menaces qui parviennent à l’ancien candidat à la mairie.

Des menaces détectées

“Des menaces ont été détectées qui dépassent le cadre de l’affaire de la vidéo » mais leur typologie reste confidentielle, indiquent des sources policières”. La protection dont bénéficie Benjamin Griveaux ces derniers temps n’est donc pas forcément liée à l’affaire de la vidéo. Car l’homme avait déjà fait l’objet de menaces et de coups. Alors qu’il était porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux le 5 janvier 2019. Les Gilets Jaunes avaient forcé son ministère avec un poids lourd de chantier. Présent dans le ministère à l’époque, il avait dû être exfiltré.

Pour mémoire, ce n’est pas la première fois que Benjamin Griveaux est la cible d’attaques violentes. Le 5 janvier 2019, le ministère de celui qui était alors porte-parole du gouvernement avait été attaqué par un engin de chantier conduit par des Gilets jaunes, alors que lui-même était en pleine interview avec des journalistes. Il avait alors dû être exfiltré par la sécurité.

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