Après l’euphorie, ce sera peut-être la douche froide pour certaines formations politiques. En effet après l’enregistrement de leurs déclarations de candidatures pour les communales de mai prochain, la Céna a procédé à l’étude de fond de ces dossiers. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a relevé plusieurs insuffisances. Il s’agit notamment de positionnement de candidats mineurs, des cas de doublons et la présentation de certaines pièces non conformes à l’exigence de la commission électorale.
L’épée de Damoclès plane sur la tête de certains partis
Si on ignore encore ce qui est reproché à chaque parti, il est important de faire remarquer que ceux qui ont positionné des candidats mineurs ont de fortes chances d’être hors course. En effet, selon une disposition de Code électoral, les partis politiques ont 72 heures pour apporter les corrections à leurs dossiers de candidatures mais ces corrections ne concernent en aucun cas l’ordre des candidatures sur la liste.
« En tout état de cause, aucun changement de candidature n’est autorisé, sauf en cas de décès ou d’une même candidature sur plusieurs listes« . C’est ce que stipule l’article 41 du code électoral. Rappelons que huit partis politiques ont passé la première étape qui est celle de l’enregistrement des déclarations de candidatures. Il s’agit entre autres de l’Union Progressiste, du Bloc Républicain, du Parti du Renouveau Démocratique, du Moele-Bénin, du partu FCBE et de l’UDBN.
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