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OMS : « Cela va aller de pire en pire » si…

L’Organisation mondiale de la Santé a décidé d’alerter. En effet, le nombre de personnes malades, infectées par le nouveau coronavirus, ne cesse d’augmenter. Hier, une journée record à 230.000 personnes touchées a été enregistrée par les autorités sanitaires à travers le monde. Face aux nombreux risques, l’OMS a décidé d’alerter, estimant que de trop nombreux pays prenaient la mauvaise direction.

Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’Organisation mondiale de la Santé, a décidé de tirer la sonnette d’alarme. Selon lui, jamais il n’y aura de retour à la « normale », tel que nous pouvions le définir avant la crise. En effet, à ses yeux, le virus continue et va continuer de frapper le monde d’autant que de trop nombreux pays ne prennent pas les mesures nécessaires et adéquates pour éradiquer la pandémie. Afin d’éviter que la situation ne s’aggrave il convient donc de réagir.

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L’OMS appelle à une lutte plus efficace

Dans les faits, le patron de l’Organisation mondiale de la Santé estime que les nations n’envoient pas un message ordonné, sapant par la même occasion, la confiance des citoyens. Les communications opaques autour du covid-19 et le manque de tractations à l’échelle internationale, empêchent de sauver de très nombreuses vies. Pour se faire, ce dernier espère que les exécutifs vont accentuer la lutte et rappeler comme il le faut, le respect des bonnes mesures.

La situation peut s’empirer

À ce jour, à travers le monde, plus de 570.000 personnes sont décédées. Des pays comme les États-Unis ou le Brésil apparaissent comme étant les plus touchés. Plus précisément, le continent américain a pris la suite de l’Europe, violemment touchée à partir des mois de février de mars. Aujourd’hui, outre-Atlantique, 50% du total des cas y ont été enregistrés. Face aux risques, Tedros Adhanom Ghebreyesus a appelé au développement d’un vaccin rapide et efficace, mais a ajouté qu’il fallait prévoir autrement, en pensant à travailler sur les mesures barrières et les moyens dont nous disposons actuellement.

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