L’actuel pensionnaire de la Maison-Blanche avait saisi par écrit son homologue syrien dans le but d’obtenir la remise en liberté du journaliste américain Austin Tice, enlevé il y a près de dix ans. Le chef de la diplomatie américaine a saisi l’occasion du huitième anniversaire de son enlèvement pour rappeler les différentes démarches qui ont été effectuées dans ce cadre. «Le gouvernement américain a tenté de manière répétée d'échanger avec des responsables syriens pour obtenir la libération d'Austin. Le président Trump a écrit à Bachar al-Assad en mars pour proposer un dialogue direct», a notamment fait savoir le Secrétaire d’état américain Mike Pompeo, dans un communiqué.
Un appel renouvelé par Trump...
Le président américain est également revenu sur ce sujet dans un autre communiqué. «Plus tôt cette année, j'ai demandé au gouvernement syrien de travailler avec nous pour retrouver et rapatrier Austin. Je renouvelle mon appel pour que la Syrie nous aide à le ramener à la maison», a fait savoir le président américain. Dans son communiqué, le chef de l’Etat américain est revenu sur la contribution de son pays dans la lutte contre les djihadistes du groupe Etat islamique (EI). Il a également évoqué l’apport de l’aide humanitaire aux Syriens.
"La famille Tice mérite des réponses"
«La famille Tice mérite des réponses», a poursuivi le président avant de prendre à nouveau l’engagement de retrouver la victime. «Nous ne relâcherons pas nos efforts tant que nous n'aurons pas ramené Austin à la maison.», a-t-il promis. Le secrétaire d’Etat américain a pour sa part fait remarquer que nul ne doit douter de l’engagement du président américain à ramener les Américains retenus en qualité d’otages dans leurs pays. « Cette détermination est plus forte que jamais s'agissant d'Austin Tice», a réaffirmé M. Pompeo ce vendredi.
Rappelons que le photojournaliste avait été enlevé le 14 août 2012 à 31 ans dans les environs de Damas. En freelance, il officiait pour des médias comme McClatchy, le Washington Post, CBS, l'Agence France-Presse (AFP) et d'autres médias.
« Nous voulons Dangnivo vivant »!!!
Afin…Je viens de me réveiller d’un long coma , Yayi Boni est-il toujours au pouvoir ?
C’était ce qu’on disait quand je m’étais endormi.