Ce mercredi à Annecy, située dans les Alpes, au sud-est de la France, en région Haute-Savoie, une femme de trente année était victime d’un drame. La femme dans la fleur de l’âge, psychiatre, alors qu’elle consultait en soin cabinet avait vu l’un de ses patients, un homme, lui tirer dessus à l’aide d’une carabine. Transportée d’urgence à l’Hôpital le plus proche, voyait quand même les médecins se réserver sur ses chances de s’en sortir.
Accident de travail ou tragédie ?
La police est, selon la presse locale, toujours à pied d’œuvre pour découvrir les circonstances exactes de la tragédie. Le fugitif, puisque le tireur avait pris la fuite sitôt son méfait accompli, avait néanmoins été rattrapé par les autorités policières de la ville. Tous les spécialistes de médecine psychiatrique s’accordent à dire leurs spécialités comportent des risques.
Les patients dont ils s’occupaient, du fait même des pathologies dont ils souffraient, pouvaient être sujets à de brusques changements d’humeurs, qui pouvaient aller de la simple crise de colère ou de panique, à une crise d’hystérie ou un accès de folie. Et bien des éléments dans la tragédie de ce mercredi, plaidaient pour la dernière hypothèse. Le tireur était un homme d’âge assez avancé, 75 ans.
Certes il s’était enfuit, mais avait été repris alors qu’il était allé trouver refuge dans le parking d’un centre commercial de la ville. Les autorités avaient donc décidé de mettre l’interpellé en garde à vue en attendant les conclusions de l’enquête judiciaire. Si la thèse de la démence était écartée du mobile du meurtre, le septuagénaire risquait plusieurs années de prisons.
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