L’information relative à la libération de la fondatrice de l'ONG « Association d'Aide à Gao » continue de défrayer la chronique. Les quatre années passées en captivité au Mali par Sophie Pétronin n’auront pas émoussé son ardeur à poursuivre l’œuvre qu’elle a entamée dans ce pays. A peine a-t-elle été libérée qu’elle a annoncé son intention de revenir au Mali et plus particulièrement à Gao où elle a été enlevée.
Elle veut rester fidèle à son engagement...
« Il faut quand-même que j’aille jeter un œil et les saluer parce que j’ai pris cet engagement. Si vous prenez un engagement, allez au bout si non, vous auriez perdu votre raison d’être sur cette terre », avait-elle confié aux journalistes qui étaient venus l’interviewer à sa descente de l’avion à Bamako. Cette déclaration n’avait pas plu à son fils qui a rapidement rétorqué.
Son fils n'est pas d'accord
« Attends-toi à ce que je recadre certaines choses. Tu n’iras pas où tu veux », avait déclaré notamment réagi le fils de la septuagénaire. Rappelons que la femme a été libérée avec l’homme politique malien Soumaïla Cissé, ainsi que deux otages italiens dans la soirée de ce jeudi 8 octobre. Ils étaient détenus dans le Nord du Mali par le groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans.
la vérité…c’est que la vieille..toubab…a son petit pointeur malien..
Ce n’est pas en france qu’elle trouvera preneur
🙂 Aziz exagère comme d’habitude! Elle fait plutôt de l’humanitaire!!!!
hééé…mon pote…!!
Toi tu connais…pas…les cougars…françaises…?
Demandes..à allomann…et agadjavi…eux qui sont tout le temps…à saly…pres de mbour
Eux ..ils me comprennent
Les mémés sont comme ça.
C’est le cœur d’un innocent , bref d’un enfant.
Et en ce meme temps, les Africains sont prets a’ se tuer pour se rendre en France. Toute la richesse (culturelle, econocomique, spirituelle etc) est ici en Afrique.
Ca fait son problème ! S’ils le prennent une nouvelle fois, elle mourra entre leurs mains. De toutes les façons, le gouvernement français es là pour secourir les siens et dépenser les sous qu’ils volent chez nous. Ils n’ont qu’à gaspiller un peu ce qu’ils volent à l’Afrique dans ces choses!