Des proches de Donald Trump auraient été épargnés par le réseau social de Marck Zuckerberg alors qu’ils auraient effectué des publications qui ne seraient pas vraies. C’est du moins l’une des informations qu’il convient de retenir de la publication du quotidien américain le « Washington Post » ce dimanche. Le média américain a notamment cité en exemple un compte appartenant au fils de l’actuel locataire de la Maison-Blanche ainsi qu’un autre qui appartient à America First Action.
Facebook aurait fermé les yeux sur la publication
Il s’agit en réalité d’un groupe favorable aux actions de Donald Trump. A en croire les précisions qui ont été apportées par le média américain, la légèreté dont aurait fait preuve Facebook, aurait été remarquée vers la fin 2019 sur le compte Instagram de Donald Trump Jr. En effet, la sanction qui est ordinairement appliquée à ce type de publication n’a pas été faite selon la publication qui a été faite par le «Washington Post ». La même remarque a été faite également sur le compte de America First Action.
Ce ne serait pas la première fois
Malgré la violation flagrante des règles établies par la société de Marck Zuckerberg sur la désinformation, aucune disposition n’a été prise contre ces comptes à l’origine de fausses publications. Notons que ce n’est pas la première fois que Facebook est accusé de partialité. « Facebook est responsable de la façon dont nous appliquons la politique contre la désinformation, et nous n’appliquons pas de pénalité dans les rares cas où la sanction n’était pas appropriée ou justifiée selon les directives établies par le programme », a notamment répondu un porte-parole de Facebook après avoir été interrogé sur le cas de la publication de Donald Trump Jr.
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