En France, la menace terroriste est importante. À ce titre, les services de la DGSI, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), gardent un œil rivé sur les groupuscules d’extrême droite. Les derniers attentats survenus à Nice et Conflans-Sainte-Honorine ont effectivement forcé les autorités à grouper les rangs.
À ce titre, les services de sécurité ont étudié le dossier du groupuscule des Barjols. En 2018, ces derniers ont tenté d’organiser un coups d’état. Une nouvelle interpellation a donc eu lieu dans ce dossier. Aide-soignante à la retraite, une certaine Delphine a été interpellée le 3 novembre dernier, par une patrouille de policiers cagoulés. C’est l’un de ses proches qui l’a dénoncé à la suite d’un interrogatoire.
Le groupe des Barjols, une nouvelle fois ciblé
Selon cet individu, cette dernière serait l’organisatrice de l’ensemble du projet. Présente sur les réseaux sociaux, Delphine T. ne cesse d’appeler à l’action contre le président Macron. Qualifié de faible avec l’immigration, de drogué, mais également de non-patriote car il frappe fort contre ses propres citoyens, les Gilets jaunes.
Le président Macron, ciblé
Reste à définir ses réelles intentions, qui seraient plutôt motivées par des principes suprémacistes. Migrants, mosquées, francs-maçons, cette dernière avait une liste de cibles potentielles assez longue. Selon toute vraisemblance, le groupuscule aurait ainsi tenté de co-organiser une attaque contre le président de la République française à l’occasion de l’un de ses déplacements à Morhange, en Moselle.
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