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Maladie de Lyme : cette découverte qui peut tout révolutionner

Par Florian Guénet
il y a 3 mois
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Formidable avancée en ce qui concerne la malade de Lyme. Pour rappel, celle-ci est directement transmise par la morsure d’une tique. Cette tique transmet alors à l’individu ciblé, la bactérie Borrelia Burgdorferi. Une maladie longtemps incomprise, qui a donc été mal diagnostiquée des années durant. Pour autant, les choses semblent aujourd’hui évoluer.

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Selon certains travaux, l’infection peut se déclarer dans les trente jours après la morsure de la tique. Cette maladie va ainsi se traduire par une petite plaque rouge et ronde qui va se former autour de l’endroit même ou la morsure/piqûre a eu lieu. Cette inflammation s’accompagne généralement de douleurs musculaires et articulaires, qui peuvent devenir chronique. Certains sujets évoquent également des poussées de fièvre.

Une protéine pour contrer la maladie de Lyme ?

Aujourd’hui, un traitement rapide permet de vite éliminer la maladie. Pour autant, si celle-ci n’est pas soignée, de graves complications sont amenés à se déclarer, comme des troubles neurologiques, voire cardio-vasculaires. Des chercheurs de l’université de Yale ont toutefois développé une manière de faire, qui permet d’aboutir à un diagnostic plus proche de la réalité. 

En effet, ces derniers ont affirmé avoir exprimé près de 1.000 gènes humains dans la levure et ont analysé leurs interactions avec des échantillons de Borreli Burgorferi, la bactérie transmise pas une tique. Une protéine agirait comme un signal d’alerte précoce, ce qui permettrait de prévenir et empêcher une personne d’être gravement infectée. Il s’agit de la Peptidoglycan Recognition Protein 1 (PGLYRP1).

Une étude encourageante

Des souris ont démontré qu’en étant dépourvue de PGLYRP1, elles présentaient un taux bien plus élevé de B. Burdorferi et donc étaient susceptibles d’être plus rapidement infectées par la maladie de Lyme. La prochaine étape consiste à mener cette étude sur des sujets humains. Cette découverte permettrait de soigner rapidement des patients malades, en injectant directement cette protéine dans l’organisme, dans le but de lutter efficacement contre la maladie.

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