Au Royaume-Uni, la Cour suprême a refusé, ce vendredi 26 février, d’autoriser le retour de Shamima Begum, partie en Syrie, rejoindre Daesh et son mari. Celle-ci ne pourra donc pas défendre sa déchéance de nationalité prononcée quelques semaines auparavant. Un véritable coup dur pour celle qui souhaitait rentrer chez elle.
C’est à l’unanimité que la justice britannique a décidé de confirmer une décision rendue au cours du mois de juillet. Une affaire qui est vite devenue emblématique puisqu’elle représentait à elle seule les problèmes politico-judiciaires rencontrés par les nations devant gérer le retour de combattants et femmes de combattants de Daesh.
Une femme de djihadiste, déchue de sa nationalité
En 2015, Shamima Begum quitte le Royaume-Uni avec deux de ses amies, pour se rendre en Syrie. Sur place, elle y épouse un djihadiste, âgé de huit ans de plus qu’elle. Aujourd’hui, cette dernière a été capturée et se trouve au camp de Roj, mais souhaite rentrer du côté de Londres. Problème, elle a été déchue de sa nationalité en 2019.
Un entretien polémique accordé au Times
La justice britannique a estimé que l’intérêt national était en jeu. Une décision qui a été confortée à la suite d’un entretien accordé par la jeune femme au Times, qui a affirmé avoir vécu une vie normale du côté de Raqqa. Selon elle, les violences, les images de morts et autres visions d’horreur ne l’ont pas vraiment gêné.
Décision très étonnante , surtout à l’unanimité, quand l’on connait le caractère extrêmement tolérant du système britannique vis-à-vis de l’immigration musulmane. Il faut croire que la situation est suffisamment grave pour entraîner un tel revirement.
C’est jusment tout l’inverse. Les Anglais ont une approche de tolérance zero. Cette decision n’est pas surprenante. Cela n’a rien à voir avec l’immigration « musulmane » (d’ailleurs votre phrase ne veut rien dire, l’Islam est une religion, pas un peuple, il ne peut pas y avoir d’immigration musulmane).
Une imbécile
Bien enfin un pays qui les dégage si djihadiste elle a cas rester là-bas et crever comme un cochon
votre cas est inquiétant, vous écrivez comme un cochon, sans doute vous vouliez dire : « elle n’a qu’à »; vous pouvez dégager…