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La vengeance de Donald Trump contre un républicain qui a soutenu sa destitution

Entre Anthony Gonzalez et Max Miller, Donald Trump n’a pas eu de peine à choisir. Il soutiendra bien évidemment M Miller , son ancien conseiller contre Gonzalez qui a voté pour sa destitution il y a quelques semaines suite aux émeutes du Capitole. Le Représentant de l’Ohio dont le deuxième mandat est en cours au Congrès sera face à Max Miller lors de la primaire au sein du parti Républicain. Dans un communiqué, Donald Trump a dit beaucoup de bien de l’homme qui faisait partie de son équipe de campagne en 2016 et 2020.

« Anthony Gonzalez ne devrait pas représenter les habitants du 16 e arrondissement« 

« Max Miller est une personne merveilleuse qui a fait un excellent travail à la Maison Blanche et sera un membre du Congrès fantastique. Il est un vétéran de la marine, un fils de l’Ohio et un vrai PATRIOTE. L’actuel représentant Anthony Gonzalez ne devrait pas représenter les habitants du 16 e arrondissement parce qu’il ne représente ni leurs intérêts ni leur cœur. Max Miller a mon approbation totale et totale » a fait savoir l’ex chef de la Maison Blanche. Dans un tweet, M Miller a exprimé sa reconnaissance au magnat de l’immobilier.

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« Je suis honoré d’être soutenu par le président Donald Trump » a-t-il tweeté. Il faut dire que l’homme met en avant le vote anti-Trump de son adversaire lors de sa campagne. « Je me présente au Congrès pour défendre les habitants du nord-est de l’Ohio. Ils ont voté massivement pour le programme America First. Mais leur membre du Congrès les a trahis lorsqu’il a voté pour destituer le président Trump. Je ne reculerai pas. Et je ne les trahirai jamais » a-t-il fait savoir sur le réseau social à l’oiseau bleu.

Il évoquait déjà les revers d’un tel courage

Le soutien de l’ancien président à sa candidature vaut son pesant d’or parce que les habitants du Nord Est de l’Ohio ont voté pour Trump lui permettant de remporter par 16 points lors de la présidentielle de 2016 et par 15 points le 03 novembre 2020. Quand il a soutenu la destitution de Trump, Gonzalez, évoquait déjà les revers d’un tel courage. « Vous devez aimer votre pays et vous devez adhérer à votre serment plus fermement que vous ne faites votre travail, et je sais quel sort politique sera le mien…Si mon destin est que je ne revienne pas, je serai en paix » déclarait-il

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