Accusé par beaucoup d’avoir été l’élément déclencheur des événements survenus le 6 janvier dernier au Capitole, l’ancien président américain Donald Trump est revenu sur ces accusations. Selon lui, les manifestants ne représentaient aucune menace pour la sécurité des élus aussi bien démocrates que républicains.
Pire encore, pour Laura Ingraham, journaliste à Fox News, le chef de l’État a expliqué que les forces de l’ordre présentes sur place ont tout simplement persécuté les manifestants présents sur place. Pour autant, l’ancien chef de l’État a reconnu que les manifestants n’auraient jamais dû entrer dans l’enceinte même du Capitole.
Donald Trump défend les manifestants du 6 janvier
Un mea culpa qu’il a vite oublié, ajoutant que s’ils étaient entrés, les manifestants l’avaient fait dans le seul but d’étreindre et d’embrasser les gardes sur place ce jour-là. Pour rappel, cinq personnes ont trouvé la mort ce jour-là tandis que 300 autres ont été inculpées. Sur ces 300 personnes, une centaine pourrait faire face à des accusations judiciaires.
Un second procès en destitution
Les détracteurs de Donald Trump, eux, l’accusent d’être responsables de cette situation. Selon le clan démocrate, l’ancien chef de l’État a effectivement harangué la foule, invitant ses partisans à se battre de tout leur poids. Quelques jours après cette sortie, un second procès en destitution a été annoncé à l’encontre du chef de l’État, pour le résultat que nous connaissons tous. Un procès que le chef de l’État n’a lui- même pas suivi.
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