O. Sonko : Zemmour parle d’une affaire « bidon »

Le Sénégal a été secoué ces dernières semaines par des manifestations parfois violentes suite à l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko le 03 mars 2021 pour troubles à l’ordre public. Le leader du Pastef se rendait au palais de justice de Dakar , pour répondre à une convocation du juge d’instruction Mamadou Seck dans une affaire de viol. En effet, une masseuse de 21 ans l’accuse d’avoir abusé d’elle. Après 05 jours de détention, l’opposant a finalement été libéré et placé sous contrôle judiciaire par le doyen des juges  Samba Sall,.

C’était un grand soulagement pour ses soutiens qui ont parfois affronté la police lors des manifestations qui avaient suivi son arrestation. Pour Eric Zemmour, la libération M Sonko serait due à l’intervention du président français Emmanuel Macron. « D’après les informations que j’avais cet après-midi, on me disait que Macron avait hésité, qu’il avait songé à envoyer la marine française pour une  intervention militaire puis s’est rétracté. Apparemment c’est lui qui a fait pression sur le président pour que l’opposant soit immédiatement libéré. Manifestement la France a essayé d’apaiser, de tenir un discours d’apaisement » a déclaré le polémiste sur le plateau de la chaîne Cnews

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« Tout le monde a compris que c’est pour s’en débarrasser… »

Il va ensuite mettre en doute l’accusation de viol contre Ousmane Sonko. Pour le journaliste-chroniqueur, elle est « bidon ». « C’est une accusation un  peu bidon de viol. Tout le monde a compris que c’est pour s’en débarrasser parce que le président Macky Sall, il ne peut pas, constitutionnellement, se représenter. Mais il peut… modifier la constitution et pouvoir se présenter(…) En tout cas, ça a été pris pour les soutiens de l’opposant comme une accusation bidon pour un truc politique » a déclaré Eric Zemmour.  

Une réponse

  1. Avatar de Lidiotducoin
    Lidiotducoin

    Ah ! Cet individu au physique ingrat qui déverse sa bille sur les immigrés africains en France reconnaît aujourd’hui que c’est bel et bien le président son pays d’adoption qui décide de ce que nos chefs d’états africains doivent.
    Il peut même envoyer la marine française intervenir dans une affaire politique d’un autre pays (sous sa domination bien sûr)

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