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Je n’avais jamais vécu pareil événement de ma vie (article sponsorisé)

C’était un dimanche après midi. Après un week-end de toute beauté passé en famille sur la côte ouest de Cotonou, nous voilà de retour chez nous dans la paisible banlieue nord de la capitale. A peine ai-je fait rentrer la voiture et rouvert mon réseau que mon téléphone commença à sonner à tout rompre. C’était Judith, la petite sœur de ma tendre moitié. Sacrée Judith !

Elle est tout sauf tempérée. Boute-en-train incomparable elle a l’art de faire rire en toutes circonstances. Ronde, grassouillette et hyper intelligente, elle dirige de main de maître sa chaîne de supérettes avec un certain succès. Imaginant déjà la scène drolatique qu’elle me fera pour ses appels infructueux, je décrochai un sourire au coin des lèvres.

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A ses premiers mots, mon visage se figea et mon sourire se transforma en rictus. Mon épouse qui m’observait de l’autre bout de la pièce se précipita vers moi l’air interrogateur avec de grands gestes. Judith que me dis-tu ? Suis-je finalement arrivé à articuler après d’interminables secondes durant lesquelles je l’écoutai me narrer sa mésaventure. Judith venais de perdre sa maison dans un incendie. Pendant son récit, j’avais eu le réflexe de mettre le haut parleur du téléphone. Le feu serait parti de la maison voisine, une cour commune comme nous les appelons communément. Un ventilateur défaillant en serait la cause. Mon épouse, compatissante lança à sa sœur :Ditho ne pleure ! Un bâtiment fut-il très coûteux reste remplaçable. Tu t’en construiras un autre. En attendant viens habiter ici il y a assez de place. Dès demain je t’aiderai avec les courses de l’assurance.

A ces mots les sanglots s’amplifièrent à l’autre bout du fil. Puis entre deux gémissements on entendit presque comme un murmure : je ne l’ai pas encore assurée, la maison. Puis les pleurs redoublèrent d’intensité. Quoi ? Comment ? Ma femme et moi, nous nous sommes exclamés de concert. Judith comment as-tu pu faire preuve d’une telle négligence ? Toi la femme d’affaires de la famille. Mon épouse n’a pas pu se retenir… Coupant court à ce qui prenait l’allure d’un procès. Je repris :Ce n’est pas le moment chérie. Calme-toi, belle sœur, on en parlera et on trouvera une solution. Tu sais que nous sommes là pour toi.Judith si prévenante a failli cette fois-ci. Et ça lui a coûté des années de labeur. Je n’ai pas pu fermer l’œil de toute cette nuit. Ce soir là, j’ai vérifié discrètement la bouteille de gaz, tous les appareils débranchés…et je n’ai pas pu m’empêcher de jeter des regards inquiets du côté des voisins. Oui nous aussi, nous avons une cour commune mitoyenne….et si ???

Tous les scénarii cauchemardesques possibles m’ont assailli avant le lever du jour. Dès le matin, et contrairement à mes habitudes, je me suis hâté de m’apprêter et de partir au boulot. Et pour cause ! Moi non plus, je n’avais pas renouvelé notre assurance maison. Eh oui ! Négligence quand tu nous tiens. La nuit blanche que j’ai passée m’a permis d’envoyer un message à mon agent d’assurance. A huit heures tapantes j’étais devant la Générale des d’assurances du Bénin. Geoffroy m’attendait déjà. Je lui remis mon chèque et le pria de faire le nécessaire dans la matinée. Puis, j’attendis avec impatience au bureau l’arrivée libératrice de Geoffroy. A 8h50mn il était là. Quelle prouesse ! J’eu envie de le serrer dans mes bras tellement j’étais soulagé. Enfin, ma maison était à nouveau assurée avec ASTRIM de la GAB. Un produit d’assurance simplement parfait qui couvre tous les risques imaginables d’une maison et même les dommages aux tiers. La mésaventure de Judith m’avait réveillée de ma somnolence. Je me résolu à ne plus jamais banaliser une assurance. Le malheur de Judith aurait pu m’arriver et j’aurais tout perdu par simple négligence. Et vous qu’attendez-vous pour souscrire à la TOUS RISQUES MAISON (ASTRIM) de la GAB ?

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