Stop aux prières sur les trottoirs. Le préfet du département du département du Littoral, Alain Orounla a échangé, ce mardi 10 août 2021, avec les imams de la ville de Cotonou. Au menu des échanges de cette rencontre, plusieurs sujets dont l’occupation anarchique de la voie publique lors des prières musulmanes du vendredi et le stationnement des véhicules sur les chaussées empêchant les piétons de circuler.
Parmi les sujets abordés lors de cette rencontre, il y a aussi le fait de prier aux alentours des mosquées et l’harmonisation de l’heure de prière du vendredi. Le préfet, Alain Orounla a exhorté les responsables de chaque Mosquée de la ville à prendre leurs responsabilités afin de libérer les trottoirs et autres espaces publiques occupés lors des prières.
Cet échange avec les imans a été entrepris dans le cadre de l'opération de libération des espaces publics à Cotonou qui a repris depuis quelques semaines. Le directeur général de la Police républicaine, Soumaïla Yaya et le directeur départemental de la Police républicaine du Littoral, Narcisse Gaffan ont pris aussi part à la rencontre.
En tous cas , je suis musulmans mais c’est propre cette idée . déjà qu’il y’a consensus entre les parties certainement pour de bonne raisons
Il se prend pour Toboula et finira comme lui eue compère Bada, épingles dans des trafics immobiliers…
Dans tous les pays on a des mesures spéciales pour les lieux de culte et les jours de prière
Ces mécréants prétentieux veulent recréer la société à l’image de leur fantasmes d’accultures !
Allez voir les abords des temples évangéliques dans le sud des USA les dimanches de Pâques , noel, ou Pentecôte!
je suis profondément…un partisan de la discipline…de l’ordre…de l’autorité de l’état…et de la propreté..en tout le temps et tout le temps
Mais un culte du vendredi….qui dure à peine…30mn…ne vas pas…déraciner les fondamentaux du pays….vu que..les lieux de cultes ne peuvent pas contenir tout ce beau monde…
En conséquence je lance une fatwa….sur ces mécréants…et ils vont voir
C’est très dangereux ce que vous dîtes là. Mais vraiment