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Prêtre retrouvé mort en France : un rwandais « marqué par le génocide » suspecté

L’actualité relative au meurtre d’un prêtre catholique en France à l’est de la Vendée continue de défrayer la chronique. En effet, les médias se sont attardés sur l’identité du présumé auteur de ce drame. Il s’agirait d’un homme âgé de 40 ans originaire du Rwanda. Le mis en cause se serait présenté ce lundi à la gendarmerie pour revendiquer le crime. Il ne serait tout de même pas inconnu des services de sécurité français.

Il a fui le Rwanda à cause du génocide

Ce dernier aurait fui sa terre natale à cause du génocide ayant opposé les Tutsis aux Houtous.  Il serait donc venu en France depuis 2012 à cause de cette situation ayant occasion plusieurs milliers de morts dans ce pays d’Afrique. A son arrivée en France, il aurait intégré la communauté chrétienne de Nantes. Pendant un moment, il avait été parmi les membres bénévoles chargés de missions au sein de la cathédrale de Nantes.

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Il avait déjà mis le feu à la cathédrale de Nantes

Mais il avait été suspecté d’avoir volontairement mis feu à des endroits de l’édifice religieux. Il avait dans un premier temps nié les faits avant de les reconnaitre plus tard. Rappelons que la mort du prêtre de la congrégation des Missionnaires Montfortains basée à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée) avait suscité une vague de réactions au sein de l’opinion publique.

Une réponse

  1. Avatar de CESAR
    CESAR

    Vous reproduisez les jérémiades des médias français sans même constater que les assertions des journalistes et commentateurs français sont truffés de contradictions flagrantes.
    Les faits crédibles et donc vérifiables sont les suivants.
    Abayisenga Emmanuel est un Tutsi (originairement groupe socio-économique et nullement une ethnie).
    A l’âge de 12 ans, il a quitté l’école pour s’enrôler dans l’armée du FPR.
    Des milliers de jeunes rwandais mineurs et majeurs ont quitté des écoles et universités pour s’enrôler massivement dans l’armée du FPR. Abayisenga Emmanuel était conséquemment un enfant soldat du FPR.
    1993, fut l’année de recrutements massifs d’enfants soldat Tutsi de l’intérieur de la part de Kagae, alors commandant en chef du FPR. Ce fait est de notoriété publique.
    Avant d’être envoyés au front, ils recevaient une formation au maniement d’armes et aux massacres impitoyables de femmes, enfants, hommes Hutu de tous âges. Ces gamins ont participé aux massacres des bébés, femmes et hommes Hutu indescriptibles, le tout en exécution des ordres donnés par les officiers du FPR, au premier rang Kagame.
    Après la prise du pouvoir par Kagame, ces enfants soldats ont été démobilisés. Ils avaient été très marqués par des crimes abominables qu’ils avaient commis et vus. Certains ont même massacré leurs parents, frères ou proches ou voisins sans motif.
    Le Gouvernement rwandais a reçu plusieurs millions de dollars de la part des bienfaiteurs pour prendre en charge psychologiquement ces enfants. Des milliers d’entre eux souffraient de troubles psychiques manifestes même pour un profane.
    Au lieu de les prendre en charge, Kagame alors ministre de la défense, vice-président puis président du Rwanda, a ordonné l’enfermement de ces enfants dans les centres psychiatriques et dans les endroits cachés où ceux qui présentaient des troubles graves ont été exécutés, d’autres sont morts de maladies diverses ou de mauvais traitement.
    Kagame et les siens ont détournés ces millions de dollars et les ont planqués dans les paradis fiscaux, sous réserve de produire les preuves d’existence d’enfants soldats qui ont été psychologiquement pris en charge par le gouvernement rwandais après leur démobilisation. Ce fait est notoire ici au Rwanda et certains médias rwandais indépendants ont porté ces cas à la connaissance des Rwandais.
    Ceux qui ne présentaient pas de troubles apparents ont été intégrés dans la police après la fusion de l’armée régulière avec la gendarmerie.
    Tel a été le cas d’Abayisenga. Il a été intégré dans la police. Celle-ci n’était pas et n’est toujours pas la police dans le vrai sens du terme c’est-à-dire une police dont la mission est d’assurer la sécurité et l’ordre public des Rwandais.
    De sa création à ce jour, la mission première de la police est de nettoyer des Hutu principalement ceux qui ont fait les études dans tous les secteurs tant publics que privés du Rwanda. Les policiers étaient et sont les escadrons de la mort qui n’épargnaient même pas les enfants et les femmes. Aujourd’hui, elle cible les Hutu qui ont de biens et les opposants politiques.
    Ces gamins intégrés dans ces escadrons de la mort ont effectué les sales besognes sur ordre de leurs supérieurs, au premier chef Kagame.
    Souffrant déjà des troubles psychologiques consécutivement aux crimes abominables qu’ils ont commis contre les Hutu et les Tutsi de second rang, les assassinats des Hutu et des membres de leurs familles et le transport des cadavres vers les lieux d’incinération des corps ou les fours crématoires ont aggravé leur état mental.
    Abayisenga Emmanuel a quitté la police. Muni de passeport rwandais avec visa en bonne et due forme, il a décidé de se réfugier en France où il est arrivé en 2012. Ses troubles psychiques existaient mais ils n’étaient apparents.
    Sa demande reconnaissance de statut de réfugié politique a été rejetée par la France. Il a été sommé de quitter la France et conséquemment de revenir au Rwanda.
    Il savait que s’il revienne au Rwanda, il regagnerait le centre psychiatrique de Ndera ou l’Ile d’Iwawa où croupissent des centaines d’ex-enfants soldats et où plusieurs d’entre eux ont été mis à mort par le régime Kagame. Les preuves existent et les centres sont connus. Les organes de certains ont été vendus par la mafia de la place. Au Rwanda le commerce d’organes des Rwandais est une activité qui rapporte gros à la mafia rwandaise. Abayisenga le sait déjà.
    C’est pour ce motif, qu’il a multiplié des recours contre l’arrêt d’expulsion du territoire français.
    Certains journalistes français dont Tanguy Kevin du Journal La Croix et autres ont affirmé erronement que Abayinsenga est un Hutu, que son père était Hutu, que celui-ci a été exécuté et jugé pour génocide des Tutsi post-mortem, qu’il est issu d’une famille de plus dix enfants, qu’il a assisté aux massacres de masse qualifiés de génocide des Tutsi. Xavier Lenormand quant à lui dit sur BFM TV qu’il était policier. Son avocat ditqu’il était soldat du FPR et par conséquent enfant soldat.
    Si Emmanuel Abayisenga est Hutu, né en 1981 à Muhanga dans la province du Sud, que son père a été exécuté par les escadrons de la mort du FPR en 1996, après son retour de la RDC comme des milliers d’autres Hutu qui ont fait les études et paysans, cela signifie que sa mère est vivante, qu’il da frères et/ou sœurs.
    Or, force est de constater que ces journalistes qui ont fait des recherches sur le passé d’Abayisenga Emmanuel n’ont pas cherché à savoir si sa mère est vivante et réside au Rwanda et la contacter ou contacter ses frères et/ou sœurs qui habitent ici au Rwanda.
    Aussi, ils restent muets sur les points de savoir qui était son père, comment et pourquoi celui-ci a été exécuté. A-t-il été exécuté parce qu’il a prétendument commis le génocide contre les Tutsi, le tout sans jugement.
    Jai relevé les contradictions flagrantes dans leurs assertions.
    Ils affirmant que – son père a été exécuté et juge post-mortem par le Gacaca de Muhanga. Ce qui signifie qu’au Rwanda, les morts sont jugés et condamnés par les tribunaux rwandais. Ce qui est un cas unique dans le monde moderne.
    S’il a été exécuté par les éléments de la police politique agissant au nom de l’Etat, comment un service de l’Etat Rwandais qu’était Gacaca a-t-il alors jugé et condamné un mort alors qu’il savait que l’accusé est mort il y a plusieurs années.
    Ils ont affirmé qu’Abayisenga Emmanuel est fils d’un génocidaire et qu’il a été intégré dans la police rwandaise. Autrement dit, un fils d’un génocidaire Hutu é té intégré dans la police par le gouvernement Kagame, alors que c’est un fait établi que pour Kagame et les siens, un Tout Hutu est génétiquement génocidaire et que par conséquent Abayisenga est génocidaire.
    Se pose alors la question comment un génocidaire né des Tutsi est-il été intégré dans la police nationale par un gouvernement Tutsi.
    Après une lecture attentive des articles publiés dans les journaux français sur ce crime et ce Rwandais, par leurs affirmations floues, erronées et au surplus contradictoires, les journalistes et divers commentateurs ne veulent pas informer objectivement les Français que l’assassin de prêtre français et incendiaire de la cathédrale de Nantes était un enfant soldat dans l’armée du FPR sous le commandement de Kagame, ami de Macron et que par conséquent Kagame a recruté massivement des enfants dont Abayisenga Emmanuel lors de sa guerre contre le Rwanda.
    S’ils disent la vérité aux Français, cela va fâcher Kagame et conséquemment gâcher les bonnes relations entre Macron et Kagame.
    Le véritable responsable est Kagame. Il a recruté massivement des milliers d’enfants qu’il a intégré dans son armée pour avoir un nombre suffisant de combattants aux fins de mener à bien son objectif : prendre le pouvoir par la force au Rwanda.
    Il connaissait les traumatismes psychologiques et leur gravité subis par ces enfants consécutivement aux crimes de masse qu’ils ont commis et/ou auxquels ils ont assisté.
    Plusieurs pays dont les Pays-Bas et organisations internationales ont alloué plusieurs millions de dollars aux fins de prendre en charge des millions d’enfants souffrant et gravement de traumatismes psychologiques manifestes consécutivement aux massacres de masses commis par les Rwandais contre les Rwandais auxquelles ils avaient assisté ou commis par les enfants soldats du FPR.
    Au lieu de les prendre en charge, Kagame et les siens ont détournés ces millions et les ont planqués dans les paradis fiscaux. Ce fait est connu de tous les Rwandais.
    Kagame a décidé de les enfermer dans les centres psychiatriques et enrôler dans la police ceux qui ne présentaient pas de troubles psychologiques apparents dont Abayisenga.
    Le génocide des Rwandais et nullement exclusivement des Tutsi (résolution 955 du conseil de sécurité de l’ONU en date du 8 novembre 1994 et la décision du gouvernement rwandais de fin octobre 1994 portant qualification juridique des crimes qui ont été commis au Rwanda) n’a aucun rapport avec l’état psychologique de ce Rwandais.
    De même à supposer que le père du meurtrier du prêtre français soit Hutu qui a été exécuté dès son retour de RDC en 1996, cela n’aucun lien direct ou indirect avec l’état mental de Rwandais.
    L’auteur de ces affirmations erronées et scatologiques entend soutenir que le fait que son père dont il n’a pas précisé le nom au demeurant (car il est facile ici au Rwanda de vérifier la crédibilité de ses dires) soit Hutu génocidaire alors qu’il n’a jamais été jugé et condamné légalement par un tribunal impartial et indépendant rwandais pour génocide Abayisenga est génétiquement génocidaire ou criminel ou qu’il a été mentalement perturbé par les crimes qui ont été commis par son père.
    Pour l’avenir, il faudra préalablement vérifier la crédibilité de vos informations et se documenter afin de donner aux lecteurs les informations crédibles et donc instructives.
    Il n’est pas étonnant que l’OFRPA ait rejeté sa demande reconnaissance de statut de réfugié politique. La France préfère donner le statut de réfugié politique aux fonctionnaires de l’Etat Rwandais soit qui ont été remerciés pour incompétences ou insuffisances professionnelles soit en mission pour le compte du gouvernement rwandais en France: faire le tour de France pour localiser les Hutu qui ont professionnellement réussi dans le pays d’accueil, les opposants politiques, donner leurs coordonnées au service de renseignement rwandais, les liquider par divers moyens, le tout sous les frais du Gouvernement Rwandais et du Gouvernement France car celle-ci finance Ibuka-France qui est une branche du FPR qui dirige le Rwanda. Il suffit donc que le demandeur déclare qu’il est membre d’Ibuka et le prouve pour que l’OFFR lui accorde le statut de réfugié politique. Si Abayisenga avait adhéré à Ibuka France, il aurait obtenu le statut de réfugié politique sans aucun problème. Et Ibuka l’aurait orienté vers les services français compétents pour qu’il soit psychologiquement pris en charge. Son cas n’est pas unique. Plusieurs Rwandais de tous âges tant Hut que Tutsi ont été psychologiquement pris en charge par les services français habilités.
    Si le père de ce Rwandais était Hutu et qu’il a été exécuté sans jugement par les escadrons de la mort du régime Kagame comme des milliers d’autres Hutu après son retour de la RDC, le tout sans jugement et que l’assassinat de son père a gravement altéré son état mental, pourquoi la France lui a alors refusé le statut de réfugié politique alors qu’elle en accordé à beaucoup de Rwandais ?
    Est-ce que pour la France, même son père n’a pas été jugé pour génocide, il a été exécuté pour un génocide commis par lui et dès lors, il était génocidaire ?
    Pour l’Office, son fils, alors âge de 13 ans en 1994 est génétiquement génocidaire. Il s’ensuit que l’OFPRA, service public français, ne pouvait pas accorder un statut de réfugié politique à un enfant d’un génocidaire Hutu et qui, lui-même, est né génocidaire. Cette hypothèse n’est pas crédible car Abayisenga est Tutsi et donc fils d’un Tutsi et nullement d’un Hutu. C’est parce qu’il est Tutsi qu’il a été enrôlé dans l’armée du FPR à l’âge de 12 ans et puis dans la police nationale après sa démobilisation de l’armée du FPR.

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