Cela fait maintenant deux ans que les premiers cas d’une nouvelle maladie ont été détectés en Chine : le nouveau coronavirus. Quelques semaines plus tard, le virus à l’origine de la maladie s’est exportée vers plusieurs pays et à ce jour presque tous les pays du monde enregistrent des cas confirmés chaque jour.
Dans le monde, plusieurs millions de personnes ont malheureusement perdu la vie après avoir été infecté par le Covid-19. Face à la progression de la maladie, des vaccins ont été mis au point par plusieurs laboratoires dans le monde. Ces vaccins ne permettent pas d’éviter l’infection mais protègent contre la forme grave de la maladie à en croire les informations diffusées dans la presse. Par la suite, les campagnes de vaccination ont démarré dans les pays. Avec le temps, des variants ont commencé à être découverts ce qui compliquent un peu les choses. Depuis quelques semaines, un nouveau variant fait couler beaucoup d’encre et de salive.
Plusieurs pays ont pris des mesures drastiques pour essayer de bloquer la progression. Hélas, ce nouveau variant circule déjà beaucoup. Dans la journée d’hier, les autorités américaines ont dans un communiqué averti que les tests antigéniques peuvent donner des faux négatifs avec les personnes infectées par le variant Omicron. « Des données préliminaires suggèrent que les tests antigéniques détectent bien le variant Omicron, mais avec une sensibilité réduite », avertit l’Agence des médicaments des USA (FDA). « Si une personne est testée négative avec un test antigénique, mais est suspectée d’avoir le Covid-19, par exemple en ayant des symptômes ou une haute probabilité d’infection à cause d’une exposition, un suivi avec un test moléculaire [PCR] est important« , poursuit l’agence.
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