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CSA-Bénin : Anselme Amoussou réélu Secrétaire général confédéral

La Confédération des Syndicats Autonomes du Bénin (CSA-Bénin) a tenu ce vendredi 17 décembre 2021 son  7ème  Congrès ordinaire à la bourse du travail de Cotonou et qui a pour  thème : « La reconversion du Mouvement syndical pour Renforcer le pouvoir social des travailleurs».  Aux termes de ce Congrès, Anselme Amoussou a été plébiscité  par les congressistes  pour un nouveau mandat de cinq (05) ans puisqu’ il était le seul candidat en lice.

A la tête de la Confédération des Syndicats Autonomes du Bénin (CSA-Bénin)  depuis janvier 2017, Anselme  Amoussou  a  été reconduit pour un nouveau mandat de 5 ans  par plébiscite  par les congressistes présents lors du 7ème  Congrès ordinaire à la bourse du travail de Cotonou ce vendredi 17 décembre 2021.  Le nouveau bureau confédéral est composé de  vingt-sept (27) membres. Le Secrétaire général de la CSA-Bénin réélu sera aidé dans ses tâches  par trois (3) secrétaires généraux adjoints. Le premier secrétaire général adjoint est  Richard d’Almeida. Celui-ci est reconduit à son poste par les congressistes. Le deuxième secrétaire général adjoint échoit à Michel Zohonkon.  Le poste du troisième secrétaire général adjoint est occupé par Paulette Djossa.

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«Je mesure le poids de la confiance que les camarades m’ont  fait. Je suis satisfait de cette confiance renouvelée par les camarades. Mais je mesure également en même temps que c’est une charge supplémentaire  pour m’appeler à faire davantage que nous avons fait les cinq ans passés » a déclaré Anselme Amoussou après sa réélection.  

 Il faut signaler que lors de la cérémonie  d’ouverture de ce 7ème congrès  ordinaire, le  Secrétaire général de La CSA-Bénin, Anselme Amoussou a déclaré que «les organisations syndicales du Bénin doivent reconnaître qu’il existe chez nous une crise de confiance et de légitimité et que les modes traditionnels de gestion de nos organisations doivent changer».  C’est  pour cela qu’il a demandé qu’ « il nous faut oser sortir des sentiers battus pour affirmer notre pertinence et notre capacité d’adaptation ».  « C’est non seulement une question de survie pour le mouvement syndical mais aussi une question de respect et de fidélité envers les travailleuses et les travailleurs qui nous accordent leur confiance » a-t-il fait savoir.

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