«Morsures» du chien de Biden : des agents secrets étaient en colère contre la Maison-Blanche

© The White House via BestImage

Des agents des services secrets étaient en colère contre les responsables de la Maison-Blanche pour avoir minimisé les blessures à la suite de morsures de major, l’un des chiens de l’actuel numéro un américain Joe Biden, au point qu’ils ont même tenté de faire payer au président Joe Biden un manteau déchiré en morceaux, selon une nouvelle publication de documents. L’agent blessé a exprimé sa frustration dans un message à un collègue qui a été révélé par les mêmes documents.

Nouvelles révélations sur l’incident de « morsure de chien » à la Maison-Blanche survenu l’année dernière. La presse révèle depuis quelques heures que des agents secrets n’étaient pas contents de l’attitude de la Maison-Blanche qui n’aurait pas donné toutes les informations sur cet incident. Selon le Daily Mail, l’un des rares cas d’incidents de morsure de chien concernant l’un des deux bergers allemands de Biden évoqués par des responsables de la Maison-Blanche a eu lieu le 8 mars 2021.

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Ce jour là, Jen Psaki, l’attachée de presse de la Maison-Blanche a déclaré que « le jeune chien de la première famille, Major, était surpris. par une personne inconnue et a réagi d’une manière qui a causé une blessure mineure à l’individu« . Selon la presse internationale, l’agent qui a été blessé était furieux après que Psaki n’ait pas révélé toute l’étendue de ce qui s’était passé. Ses blessures ont également été qualifiées de « graves » par une source proche de la Maison Blanche. « NON, je n’ai pas surpris le chien (…) comme vient de le dire l’attaché de presse ! » Maintenant, je suis énervé« , a écrit l’agent blessé à un collègue par SMS. 

En réponse, le collègue de l’agent a répondu : « SMH. .. j’espère que tu n’es pas blessé (…)« . Une autre série de messages texte provenant d’un agent des services secrets qui n’a pas été identifié comprend des images de la zone de la morsure et indique que « la blessure ne peut être décrite en aucun autre terme que « grave » ». L’attaque a eu lieu vers 7 heures du matin le 8 mars alors que l’agent était avec la Première Dame Jill Biden au deuxième étage du quartier résidentiel de la Maison-Blanche, selon les documents. Le document partagé par Judicial Watch, donne des détails sur la manière dont l’incident s’est déroulé : « Sans avertissement ni provocation, Major a aboyé fort contre [l’agent]… et a réagi« . 

« N’ayant pas le temps de se mettre à l’abri de l’attaque, [l’agent] s’est détourné du chien alors qu’il mordait la jambe droite« , poursuit le document. Une heure après l’attaque, David Cho, l’ancien agent de protection en chef du président Biden, a envoyé un e-mail qui disait: « Major a mordu l’un des agents ce matin »L’agent va bien, mais il a des ecchymoses. Le même agent a ensuite été mordu une deuxième fois par Major. Concernant ce nouvel incident, il n’y a pas de détail sur le moment et le lieu de l’attaque. Il était «le seul agent connu de la PPD [Division de protection présidentielle] à avoir subi deux attaques de Major en moins de 10 jours», précise un e-mail envoyé par un employé des services secrets en juin.

Selon les mêmes révélations, des agents des services secrets auraient tenté de cacher les détails de l’attaque en ne les documentant pas, précise les documents. L’agence aurait nié le récit « excessivement détaillé » d’un agent sur ce qui s’était passé dans le but d’éviter les tensions entre les agents et la famille du Président Biden après que Major aurait mordu les agents quotidiennement pendant huit jours consécutifs.

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