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Législatives apaisées au Bénin: les doléances du parti GSR

Le dialogue politique initié par le Médiateur de la République pour des législatives apaisées en 2023 prend fin demain mercredi 04 mai. Presque tous les partis politiques ont répondu à l’appel de Pascal Essou, même la GSR d’Antoine Guédou Vissétogbé. Ce dernier, à la faveur d’un entretien accordé à la Webtv Reporter Bénin Monde est revenu sur les suggestions et les doléances faites par son parti à Pascal Essou dans le cadre de ces concertations.

« Pour qu’il permette aux autres partis de préparer les législatives en toute quiétude »

« Nous avons demandé que le médiateur de la République soit notre porte-voix auprès du président pour qu’il revienne à sa fonction de président de tous et non d’une partie de la nation. Qu’il soit notre porte-voix auprès du président de la République pour que (le premier magistrat ) permette aux autres partis de préparer les législatives en toute quiétude comme ses deux partis à lui » a déclaré le patron de Grande solidarité républicaine (GSR). L’homme politique rappelle que l’opposition est reconnue par toutes les lois fondamentales du Bénin, même celle promulguée par Patrice Talon.

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Il est donc « inacceptable » qu’on déclenche « tout le temps la guerre » contre elle alors que « notre constitution » la conçoit « comme un complément nécessaire à l’exécutif pour une gestion harmonieuse du patrimoine national ». En fin d’entretien, Antoine Guédou a parlé de la participation de son parti aux prochaines élections législatives. Selon ses dires, la décision revient au conseil national du GSR.

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