Le gouvernement de la rupture poursuit ses exploits pour le bonheur de ses populations. Cette fois-ci, il a obtenu un financement de plus de 200 millions Euros dans le cadre du programme Aquavie. La signature de l’accord a eu lieu le vendredi 15 juillet 2022 entre le ministre d’État chargé de l’Économie et des Finances, Romuald Wadagni et le représentant résident de la Banque mondiale, Atou Seck.
233.800.000 Euros soit 153.362.746.600 FCFA. Tel est le montant exact de l’accord de financement additionnel que le Bénin a signé avec la Banque Mondiale pour le Programme AQUAVIE. En présence de la directrice des opérations et la stratégie de la Banque Mondiale pour l’Afrique de l’ouest et le centre, Elisabeth Huybens, le ministre Romuald Wadagni et le représentant résident de la Banque mondiale, Atou Seck ont conclu cet important financement additionnel. En effet, préoccupé par l’accès à l’eau potable de ses populations, le président Patrice Talon ne se lasse pas de chercher des aides financières. C’est ainsi qu’il a pu, une fois encore, gagner la confiance de la Banque Mondiale. Ce financement additionnel permettra d’amplifier les investissements engagés par le gouvernement de la rupture pour l’atteinte de l’accès universel à l’eau potable avant le terme fixé par les Nations-Unies.
Ce financement servira également à la construction de 80 nouveaux systèmes d’approvisionnement en eau potable multi villages (SAEPmV) pour desservir environ 1.266.000 personnes additionnelles à la mise en service des ouvrages répartis sur 404 villages dans tous les départements du pays hormis celui du Littoral, à travers 2.700 bornes fontaines et 28.000 branchements privés. Notons que tout ceci est placé sous le programme AQUAVIE qui a pour objectif d’améliorer l’accès aux services d’eau potable et de renforcer les modèles de gestion dans les zones rurales du Bénin. Il vise le développement rapide des infrastructures d’alimentation en eau potable de nouvelle génération, y compris la réhabilitation et l’extension des systèmes d’approvisionnement en eau potable existants, en vue de la desserte universelle et la gestion professionnalisée durable du service public de l’eau potable en milieu rural avec des opérateurs qualifiés.
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