La sortie médiatique du parti Les Démocrates du samedi 5 novembre 2022 a porté en grande partie ses fruits. Elle leur a permis d’acquérir de nouveaux quitus fiscaux mais le plus grave leur a été notifié par la Direction générale des Impôts (DGI). Pour espérer participer réellement aux élections législatives du 8 janvier 2023, Les Démocrates doivent verser dans la caisse de l’État plus de 1,5 milliard de francs CFA pour trois quitus fiscaux restants.
Le parti de l’opposition Les Démocrates risque de ne pas participer aux prochaines élections législatives. Cette fois-ci, c’est le quitus fiscal de chaque candidat qui risque de les bloquer. En effet, depuis leur déclaration de candidature pour les législatives de 2023, Les Démocrates font face à de multiples difficultés. Le plus grand problème est lié à la délivrance des quitus fiscaux à leurs candidats. Pendant que la Commission électorale nationale autonome (Céna) a entamé l’étude de fond des huit dossiers de candidatures reçus pour les législatives, le parti de Éric Houndété est toujours derrière les quitus fiscaux de certains candidats.
Il attend désormais trois quitus fiscaux avec une importante dette fiscale au dos. Car, la conférence de presse du samedi a permis la délivrance de 09 quitus fiscaux sur les 12 réclamés. Et parmi les trois restants, deux doivent 1, 4 milliard de francs Cfa à la Direction générale des impôts. Cela concerne un redressement fiscal de 816 millions du candidat titulaire de la 15ème circonscription électorale, Yves Patrick Djivo pour le… Lire la suite dans le journal PDF
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