Accusé de violences sexuelles, un prêtre ne peut plus confesser ses fidèles

Une affaire de violences sexuelles et psychologique de longue date et qui vise un prêtre-artiste secoue l’Eglise. Alors que le dossier était déjà classé par le Vatican, il a été rouvert par l’ordre des jésuites qui n’a pas abandonné les accusations contre le père Marko Ivan Rupnik. Selon les médias qui rapportent l’information, il a été interdit à ce prêtre de recevoir des fidèles qui veulent se confesser ou encore de participer aux activités spirituelles jusqu’à nouvel ordre. C’est l’ordre des jésuites qui a pris la décision. L’information a été officialisée à travers une déclaration interne.

L’affaire du père Marko Ivan Rupnik, actuellement âgé de 68 ans, accusé de violences sexuelles et psychologique fait couler beaucoup d’encre et de salive. Depuis quelques heures, des médias internationaux annoncent que le prêtre ne peut plus exercer dans son ministère comme ses pairs. Désormais, l’accusé ne peut plus prendre en charge les confessions des fidèles et ne doit plus prendre part aux activités spirituelles comme avant. Il faut préciser que le père Marko Ivan Rupnik a excellé dans le domaine de l’art visuel (mosaïque), d’où sa renommée.

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Depuis l’année 2021, une enquête visant le prêtre mis en cause a été ouverte après les dénonciations et certains témoignages provenant de « Ljubljana », une communauté de religieuses, rapporte la presse italienne. Les témoignages en question qui ne seraient pas en sa faveur ont poussé les Jésuites à prendre la dernière décision contre ce prêtre-artiste. Les médias qui rapportent l’information ont précisé que les témoignages ne révèlent pas des cas de mineurs mais les charges de violences sexuelles qui pèsent contre le père Rupnik, suffisent pour qu’il soit sanctionné d’après l’ordre des Jésuites.

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