Dans un contexte où la crainte sur le recours à l’arme nucléaire par l’une des parties impliquée dans le conflit ukrainien continue de défrayer la chronique, les médias ont annoncé une nouvelle qui ne va certainement pas rassurer l’Occident. En effet, la Russie serait sur le point de mettre sur pied une arme qui serait à même de frapper à la fois les États-Unis et le Royaume-Uni. Selon la précision qui a été apportée par le Mirror, il s’agit d’un missile balistique intercontinental qui a une portée de 7 500 milles.
On retient également des images qui ont été diffusées ce mercredi que dans un silo du complexe militaire de Kozelsk, dans la région de Kalouga, au sud-ouest de Moscou a été installée une énorme fusée russe Yars. Le journal russe Komsomolskaya Pravda indique que l’arme a une capacité « 12 fois supérieure à la bombe américaine qui a détruit Hiroshima ». Ces informations interviennent dans un contexte où la Russie a toujours entretenu un mystère autour d’un recours ou non à l’arme nucléaire.
"Si non nous frappe, on frappe en réponse"
Elle martèle tout de même qu’elle devra répondre si l’adversaire faisait en premier recours à ce type d’arme. « Nous ne sommes pas devenus fous, nous savons ce que sont les armes nucléaires. Nous considérions les armes de destruction massive, l'arme nucléaire, comme un moyen de défense. L'hypothèse d'un recours est construite autour de ce qu'on appelle la 'frappe en représailles' : si on nous frappe, on frappe en réponse » a déclaré il y a quelques jours le président russe Vladimir Poutine.
Les armes nucléaires américaines, françaises et britanniques affichent les mêmes puissances et d’autres puissances énergétiques selon les objectifs (durcis ou non). Rien de nouveau donc. La dissuasion opère.
Pour l’instant, Russes et Américains semblent garder leur sang-froid.
Zelensky, lui, semble chercher l’escalade à tout prix. Les Américains ont intérêt à le calmer.
Félicitations