Les relations entre Paris et Ouagadougou se sont fortement dégradées depuis l'arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré. Dans son ensemble, l'opinion publique burkinabè a fait pression sur les nouvelles autorités pour afin de rompre toutes formes de coopération militaire avec la France. En début d'année, le pouvoir de la transition avait donné un délai d'un mois aux autorités françaises pour procéder au retrait de la force sabre qui était stationné à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Il y a quelques jours, le haut commandement de l'armée burkinabè a annoncé la fin définitive de l'opération sabre avec le départ effectif des 400 militaires des forces spéciales françaises.
Ce lundi 28 février, à travers un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a dénoncé un accord d'assistance militaire signé en 1961 avec la France. Cet accord, dont plusieurs points ont évolué au fil du temps, lie la France et les anciennes colonies de l'hexagone. Dans le communiqué, les autorités de la transition donne un délais d'un mois le départ définitif de tous les personnels militaires français en service dans les administrations militaires burkinabè. Cette initiative du Burkina Faso intervient après le discours du président français Emmanuel Macron qui avait mis en avant sa volonté de redéfinir en profondeur la politique française en Afrique.
Le Burkina Faso, qui est confronté aux affres du terrorisme depuis près de 7 ans maintenant, a enclenché différents mécanismes pour se sortir du bourbier. Sous la pression populaire, Ouagadougou compte diversifier ses partenaires pour optimiser la lutte contre le terrorisme. Dans des sphères bien introduites, on parle d'un rapprochement avec la Russie comme ce fut le cas avec le Mali. Au Mali, le groupe paramilitaire Wagner est présent alors qu'au Burkina, le président Ibrahim Traoré a démenti la présence de Wagner sur le sol du Burkinabè.
Je chute en relatant vivement l’eveille des consciences des beninoises et beninois il n’est jamais trop tard dixit Dr Doss
Ce sont les conséquences une personne veut décider de tout sans l’avis et consultation des autres dixit Dr Doss
Là excusez moi c’est le vrai désert de compétence ça c’est ça la vérité dixit Dr Doss
Que certains appels politique de ruse et de la rage plutôt de la médiocrité je dirai tout simplement que c’est une manque de vision dixit Dr Doss
Comme c’est le désert de compétence au Bénin l’armée française le pyromane est accueilli clandestinement à kandi au pays de Dada Behanzin et de Bio Geurra dixit Dr Doss
Et un jour le peuple les déposerons comme c’est déjà produire ailleurs dixit Dr Doss
Malheureusement certains de nos dirigeants les vassaux de la junte française n’ont pas encore compris dixit Dr Doss
Et vous verrez que cette junte française tombera d’elle-même dixit Dr Doss
Maintenant restent les autres pays Africains qui croient encore aux narratifs de la junte française d’en faire autant dixit Dr Doss
Ce n’est pas fini il faut dénoncer les onze accords stériles coloniaux comme le Mali avait dénoncer précédemment dixit Dr Doss
Vous avez entièrement raison de dénoncer l’accord ridée en cause dixit Dr Doss
Des accords de 1961, encore en vigueur ? Vraiment . Quand la France joue au pourrissemnet de la situation.
Vous êtes dans la continuité de notre feu Thomas Sankara bravo bravo bravo bravo quadruplement à vous dixit Dr Doss
Merci Traoet aux aux patriotes Burkinabé vous êtes le dignes fils de l’Afrique dixit Dr Doss
Il est temps que chaque gouvernement africain dénonce tous les “accords” coloniaux. La dénomination en elle même sonne faux et souligne une relatio. Dominant- dominé.
Que chaque chef de gouvernement ou président qui n’est pas en mesure de dénoncer ces chiffons d’accord cède sa place à quelqu’un de courageux et travailleur. L’heure n’est plus à la distraction.
Wagner au Mali, au Burkina peut au Bénin dans l’avenir, de quoi se mêlent la France et les occidentaux?