Le 25 mars, le corps sans vie de Jeannah Danys Dinabongho Ibouanga, une jeune étudiante gabonaise de 18 ans, a été retrouvé à Karabuk, en Turquie. Ibouanga était inscrite en classe préparatoire au département de génie mécanique de l’Université de Karabuk. Suite à cette découverte tragique, une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de sa mort.
Le corps de la jeune femme a été retrouvé par le conducteur d’un train, qui a immédiatement signalé la situation aux autorités. Des équipes de santé, de gendarmerie, de police, de l’AFAD et des pompiers ont été dépêchées sur les lieux, où elles ont récupéré le corps de Jeannah. Celui-ci a ensuite été emmené à la morgue de l’hôpital de formation et de recherche de Karabuk pour une autopsie.
Selon les dernières informations, la jeune étudiante aurait été violée avant d’être assassinée. La cause exacte de son décès fait toujours l’objet d’une enquête, mais les soupçons de meurtre se renforcent.
Face à cette situation dramatique, des étudiants africains, dont de nombreux Gabonais, ont organisé des manifestations pour exiger des informations sur l’affaire et que justice soit faite. Ils estiment que les autorités n’ont pas fourni suffisamment d’informations et soupçonnent un meurtre. Certains etudiants ont annoncé qu’ils poursuivraient leurs actions sur le campus jusqu’à ce que toute la lumière soit faite sur l’affaire.
La mort de Jeannah Danys Dinabongho Ibouanga a suscité une vive émotion au sein de la communauté africaine, et en particulier parmi ses compatriotes gabonais. Cette affaire soulève de nombreuses questions sur la sécurité des étudiants africains dans certains pays en dehors du continent et met en lumière la nécessité d’une enquête approfondie pour élucider les circonstances de ce drame.
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