La crise observée dans le secteur de la commercialisation du soja continue de faire des vagues. En plus des nombreuses plaintes exposées par voie des ondes radiophoniques pour dénoncer les pertes financières subies, des langues se délient de façons très acerbes, via les mêmes canaux. Des producteurs de soja déplorent ce qui apparait à leurs yeux comme l’incompréhensible mutisme « des cadres originaires du nord résident au sud ».
Originaires du département de l’Alibori, des producteurs de soja ont, sur les ondes de radio Parakou, exprimé leur amertume contre le comportement de certains cadres de leur région demeurant dans la partie méridionale du pays et occupant d’importants postes politiques mais qui ne s’invitent pas dans le débat sur la commercialisation du soja qui occupe le devant de l’actualité nationale. Selon eux, il s’agit d’une question qui devrait être d’intérêt public et qui ne devrait pas concerner les seuls producteurs. Il s’agirait d’un problème de développement régional.
Surtout lorsqu’on sait que les revenus qui permettent de faire face aux dépenses scolaires, de la santé des enfants et diverses charges familiales ne proviennent que de la vente des produits agricoles. Selon les intervenants, il apparaîtrait que les mesures d’urgence annoncées par le gouvernement ne rassurent pas entièrement, pour l’instant, alors qu’il se trouve des agriculteurs surendettés, qui ont encore plusieurs centaines de tonnes de soja sous les bras. Et le démarrage de la saison pluvieuse vient davantage marquer la fin des illusions. Ce qui risquerait de compromettre la campagne agricole en cours.
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La démission des cadres du nord est une longue histoire complexe et anthropologique
Il faudra beaucoup de livres pour l expliquer
Dans tous les cas..je suis le prolonger d une certaine idée de la défense du nord Bénin
Les gens du sud.sous prétexte qu’ils ont connu les blancs.nous prennent pour une arrière cour
Le thème la i k ai en est une illustration
Et pourtant nous sommes plus civilisés que ces babouins violents
Djihadiste grave en puissance
Ils ont raison. C’est le rôle moral et souvent formel des politiques de défendre leurs électeurs sur les sujets de vie pratiques.
J’espère qu’ils les sanctionneront aux prochaines élections
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(@_@)
C’est mieux de soit rapprocher les 🏭 usines des lieux de productions, soit de trouver des moyens de transport et de logistiques de qualité sur le long terme, afin de rapprocher les produits de Glo Djigbé.
Non. Il n’y a pas mutisme des cadres du nord. Le Grand Aziz, Sultant de l’Alibori (Haribori- la bonne pronciation)-Borgou), a toujours fustigé la position gouvernementale.
Merci
La race des gens des fondateurs du faceen
La race des dankoro soulez Adolphe biaou debourou djibril
Dis je n existent plus