Les élections générales de 2026 sont d’un enjeu très grand. Pour les réussir et éviter une crise pré et post-électorale au Bénin, il faut les aborder avec délicatesse. Toute chose que le parti d’opposition, les démocrates, ne constate pas. C’est pourquoi son président, l’ancien chef de l’État Boni Yayi, appelle la communauté internationale au secours.
Votre journal a publié un article précédemment dans lequel il évoquait une timide préparation des élections générales de 2026. Dans cet article votre journal, rappelant les conditions d’organisation des précédentes élections avait mis l’accent sur le fait que toutes les institutions en charge des élections de 2026 sont aux couleurs de la mouvance. Cette adresse de Boni Yayi à la communauté internationale s’inscrit donc dans la droite ligne de l’analyse faite par votre journal.
« En ma qualité d’Ancien Président du Bénin, Président du parti d’opposition, Les Démocrates, je viens d’adresser une requête à l’Union Africaine, la CEDEAO, les partenaires bilatéraux et aux autres partenaires de la communauté internationale les invitant à diligenter au Bénin une mission pour s’enquérir du cadre institutionnel mis en place par le Président Talon dans la perspective des élections générales de 2026 ». Ainsi s’exprime Boni Yayi sur sa page Facebook.
Il ajoute « J’ai informé cette communauté internationale que ce cadre n’est pas inclusif du fait de l’absence des représentants de l’opposition dans les instances chargées d’organiser les prochaines élections municipales, communales, législatives et présidentielles dans presque 2 ans ». L’ancien président de la république, tirant la sonnette d’alarme a martelé qu’après 2016, le Bénin n’a jamais réussi à organiser des élections inclusives, transparentes, équitables et pacifiques.
Sa démarche explique-t-il est préventive. « Pour tenir compte des implications politiques, économiques, sociales et sécuritaires liées à ces exclusions dans le passé, j’ai donc souhaité que ces missions nous viennent en aide pour nous accompagner dans nos efforts afin que notre pays organise enfin des scrutins transparents et pacifiques ». On se rappelle en 2019, le scrutin législatif s’est soldé par des violences sans précédent qui ont occasionné des pertes en vie humaines et de nombreux dégâts. En 2020, lors des communale et 2021 lors des présidentielles, les mêmes scénarii avaient entraîné un boycott général des élections avec des taux de participation jamais enregistré par le passé au Bénin et des fraudes flagrantes restées impunies à ce jour.
Boni Yayi a par ailleurs rappelé dans son adresse qu’il n’est candidat à rien. « Je suis citoyen béninois attaché à la paix et au vivre ensemble dans mon pays. Ce vivre ensemble implique aussi la libération des détenus politiques et le retour dans leur mère patrie, des exilés politiques et d’opinion » a-t-il conclu. Vivement que ce cri de cœur soit entendu non seulement par la communauté internationale mais aussi les autorités béninoises pour une élection apaisée en 2026.




Yayi Boni est le seul aujourd’hui à pouvoir affronter le dictateur de la Marina qui a mis en danger la démocratie béninoise et mettre le peuple dans une grande misère.
La bataille de 2026 comment dès maintenant, si on ne change pas les lois, ce n’est même pas la peine d’aller aux élection.
L’opposition béninois va s’associer aux militaires du Niger pour renverser le dictateur, car ça ne peut pas continuer ainsi.
Yayi est un psychopathe belliqueux. Il se nourrit des crises. Il ne sait faire que ça. Allez demander à tous ceux qui ont collaboré avec lui. Il ne s’arrête jamais,
Etes vous content du déroulement des élections législatives de la dernière fois???
Pendant lesquelles un député se ventait d’avoir estampillé des dizaines de carnets de bulletin de vote????
Avez vous les vidéos des agents électoraux tamponné à tout va pour faire gagner les partis du Président????
Le Bénin est il votre propriété???? Vous voulez qu’on reste les bras croisés pour que la même fraude massive se répète???
Vous n’avez même pas honte de défendre la fraude, le vol des suffrages.
Quoi qu’il en soit, ces actes actes sont documentés, nous attendons juste la chute du dictateur et vous verrez les représailles.
Je ne nous comprends pas au Bénin 🇧🇯 une élection qui est encore en 2026 et vous êtes en précipitation en 2023 vous n’avez pas quelque chose à faire et c’est dans la politique que tout le monde se mêle , l’encient président Bony Yayi aurait fait plus que ça au cours de ses mandats qu’il laisse ses déclarations qui peut causer le trouble dans le pays , que chacun pense le développement du Bénin 🇧🇯 le pays est déjà trop en retard sur le plan de développement .
Que racontez-vous ?? Vraiment !!! Je pensais que ce sujet était clos ???
Vous revenez toujours avec les mêmes thématiques dans l’unique objectif de vendre vos **** mais la certitude est qu’on ne perd pas une élection qu’on organise quand on est au pouvoir.
Talon n’est ni Kerekou, Soglo ou Boni Yayi.
En conclusion ; les élections générales de 2026 seront un KO sans précédent dans l’histoire politique de ce pays.
Suivez mon regard.
Je passais
Le Plombier universitaire
Justement..c est pourquoi.. il faut prévenir.. même si en réalité..je ne crois pas au système démocratique en Afrique
La volonté du peuple..n est jamais le verdict des urnes
Et c est pourquoi..moi je prône..d autres.formes d expression des peuples.. qui prend en compte la sociologie..
Celui qui est indigent intellectuellement.. matériellement..n a aucun choix à faire qui engage un pays
Gbè wè mi gbè wé. Avoun gbè wé boh han gbè wé. Soukpoh gbè wé
Aglouza yi wé sé sé sé
Patrice Talon a fait 2 mandats et lui remercions pour le job mais qu’ il fasse des élections crédibles et s’en aille dans la paix car l’après 2026 sera douloureuse et nous ne voulons pas la violence.
Moi Haut Talon, je ne vis que our le pouvoir. S’il faut que je me déguise en candidate , je le ferai et reviendrai pour le 3è et 4è mandat…mais j’avais dit que je voulais faire un seul mandat non…le peuple m’e sollicite toujours