Les JO 2024 de Paris, sous très haute surveillance. En effet, de nombreuses craintes liées à d’éventuelles attaques (physiques ou cyber) ont été révélées par les autorités françaises, qui espèrent que le grand-mess du sport se déroulera sous les meilleurs auspices. Mais il vaut mieux prévenir, que guérir.
Ainsi, la France, pour se préparer au mieux et anticiper, a décidé d’investir. Récemment, Paris a annoncé l’acquisition d’armes anti-drones de premier choix. Une quinzaine d’unités lourdes anti-drones ont été commandées par l’armée de l’air, afin de répondre à une éventuelle attaque. De quoi venir compléter l’arsenal déjà bien conséquent des forces armées.
L’armée française s’équipe
En effet, les militaires français disposent, à ce jour, de radars de premier choix, de caméras thermiques ou encore de détecteurs électromagnétiques ainsi qu’un laser à 2 kW de puissance. Plus maniables, précises et redoutables d’efficacité, les unités anti-drones disposent d’un puissant radar, de caméras pour faciliter l’identification du drone ainsi qu’une antenne de brouillage.
Les forces de l’ordre pourront ensuite utiliser des fusils lance-filets pour capter les drones pointés du doigt comme étant des drones ennemis. Du côté de l’armée, et non pas de la sécurité classique, on pourrait aussi utiliser des drones classiques, pour répondre à d’éventuelles attaques et détruire la menace si elle venait à s’approcher un peu trop des athlètes, des spectateurs et des touristes.
Les JO de Paris, sous haute surveillance
Depuis plusieurs années, les forces de l’ordre travaillent et s’entraînent pour assurer à la France, des Jeux olympiques de grande qualité. Récemment, à l’occasion de la Coupe du monde de Rugby, ce sont 24 opérations de brouillages qui ont été menées et 9 interceptions, sans jamais rencontrer la moindre difficulté. Les militaires ont jusqu’au 26 juillet prochain pour peaufiner leur méthode.
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