Avec l’entrée en fonction de Bassirou Diomaye Faye comme président du Sénégal, accompagné d’Ousmane Sonko, une nouvelle ère s’annonce pour le pays. La victoire de Diomaye Faye, saluée pour son caractère historique, marque une transition significative après le mandat de Macky Sall. Ce changement de leadership, soutenu par Sonko, promet une approche réformiste sur plusieurs fronts.
L’un des secteurs cruciaux pour la nouvelle administration est la pêche, une industrie essentielle pour l’économie sénégalaise et le bien-être de ses citoyens. Face aux défis posés par la surpêche et la concurrence des flottes étrangères, il est impératif pour Diomaye Faye et Sonko de mettre en place des stratégies pour revitaliser ce secteur et garantir la durabilité des ressources maritimes, enjeu vital pour les communautés côtières.
Par ailleurs, la renégociation des contrats d’exploitation des hydrocarbures s’impose comme une autre priorité. Dans le but de garantir une meilleure répartition des bénéfices de cette ressource nationale, le nouveau gouvernement se penchera sur l’équilibre et la transparence de ces accords. Cette démarche vise non seulement à augmenter les revenus de l’État mais aussi à renforcer l’autonomie du Sénégal dans la gestion de ses ressources naturelles .
Dans un contexte régional marqué par des tensions, la posture diplomatique du Sénégal vis-à-vis de l’Alliance des États du Sahel (AES) et de la CEDEAO revêt une importance capitale. Bien que le Sénégal ne projette pas de rejoindre l’AES, le duo Diomaye Faye – Sonko pourrait jouer un rôle clé dans la médiation entre les pays de l’AES et les autres membres de la CEDEAO. Cette approche diplomatique prudente vise à désamorcer les tensions et à promouvoir la stabilité régionale sans préjuger d’un retour des trois pays au sein de la CEDEAO.
Cette orientation vers la diplomatie s’inscrit dans une volonté plus large de renforcement de la coopération régionale et du dialogue, essentiels à la sécurité et au développement durable de l’ensemble de la région. Dans cet effort de conciliation, le Sénégal pourrait ainsi contribuer à jeter les bases d’un nouvel équilibre régional, respectueux des souverainetés nationales tout en favorisant la solidarité entre les États.
Les défis auxquels le duo Diomaye Faye – Ousmane Sonko doit faire face sont nombreux et variés, allant de la revitalisation économique à la diplomatie régionale. Leur réussite dépendra de leur capacité à élaborer des politiques inclusives et à nouer des partenariats stratégiques, tant au niveau national que régional. Dans ce contexte complexe, leur leadership sera déterminant pour l’avenir du Sénégal et son rôle sur la scène africaine.

Un très bon article mais des commentaires pas du tout à niveau. La France, toujours la France responsable de tous les maux, il est temps de changer de logiciel, tout comme BDF est en train de le faire. Le Sénégal est un pays ouvert sur le monde et a des accords avec de très nombreux pays, pas uniquement la France.
Il faut repartager le gain national issu des exploitations d’hydrocarbures, afin de donner espoir et dignité à la jeunesse sénégalaise, qui préférait fuir le pays que d’y rester.
Macky Sall & ses amis français, devront rendre gorges. Trop de contrats fictifs & de complaisance.
Occupe toi…de celui qui nous glisse..une quenelle..dans nos fions.. depuis 2016..en s accaparant de tout
Entre les cours que tu dois dispenser et les bèèè bèèè que tu dois accompagner pour les produits laitiers , il faut aller bosser
un baawaado ( =un flaiblard en peulhar ) comme toi, je vais te mettre unboggol (= corde en peulh) au cou et te suspendre.
Si t’es un vrai Prince Peulh réagi
Où tirer le gain naturel, à part le tchep djen? Si tu veux en manger je t’en envoie, préparé par Aziz
As-tu des nouvelles de Dr Doss?
Comment ne pas être fier de ce qui se passe au Sénégal???
Cette élection est un démenti cinglant face à toutes les affirmations selon lesquelles, la démocratie n’est pas faite pour les peuples africains.
Aussi et surtout, que l’ancienne puissance coloniale place toujours les présidents africains.
Lorsque nous avons des incapables, des tricheurs et des prédateurs des deniers publics à la tête de nos Etats, il est évident que les résultats ne peuvent pas être pareils.
Le cas du Bénin, malheureusement est triste à plus d’un titre.
Quand c’est bon, c’est unanimement que la communauté africaine entière salue et félicite.
Les incapables au pouvoir s’illustrent dans des contre performances dans presque tous les domaines, surtout dans la construction de l’Etat de droit et de la démocratie, mais s’obstinent à prendre des vessies pour des lanternes.
Le Bénin depuis 1990 n’avait rien à envier au Sénégal; aujourd’hui c’est avec le Togo que le pays de la conférence nationale se mesure en matière des libertés démocratiques et de la bonne gouvernance.
Quelle honte!!!
Si un jour ce déclin prenait fin, sans pitié, que les auteurs et les complices de cette calamité passent devant un peloton d’exécution afin plus jamais de telles ignominies, ne puissent se reproduire sur la terre sacrée de nos aïeuls qui ont eu à donner leur sang pour la liberté de ce pays.
La priorité..de certains..c est la prédation..de tous secteurs vitaux de l économie nationale..avec une arrogance..sans pareille…
Suivez mon regard..
Raison pour laquelle..je dis que les Sénégalais..sont différents de nous autres…
Ceux qui croient..que ce qui s est passé au Sénégal se passera chez..nous..se trompent
Eux..ils ont des cou illes
Toi tu parles de couilles…mais tu les as toutes molles , jamais t’as organisé la simple réunion des peul de Guéné non loin de Malanville …alors arrête, arrête vite!
envoyer les enfants des autres et les tiens? Ils sont aux paturâges