Ce lundi, un tueur en série a été arrêté en Afrique. Ce dernier, interrogé, a rapidement reconnu être l’auteur de pas moins de 42 meurtres. 42 femmes, 42 féminicides, dont certains des corps mutilés, ont été retrouvés disséminés, cachés au cœur même d’une décharge à ciel ouvert.
C’est à Nairobi, au Kenya, qu’un homme a été avoué être l’auteur d’une quarantaine de meurtres. La police a effectivement réussi à l’attraper, après avoir retrouvé neuf corps dans une décharge de la capitale, dont huit se trouvaient dans des sacs plastiques. Qualifié de tueur psychopathe par les forces de l’ordre, ce dernier n’a pas cherché à cacher sa culpabilité.
Un tueur en série reconnaît 42 meurtres
Selon les forces de l’ordre, l’homme en question serait âgé de 33 ans. Le soir de son arrestation, ce dernier s’était rendu dans un bar de la capitale, pour regarder la finale de la coupe d’Europe de football, opposant l’Espagne à l’Angleterre. Sur place, il aurait alors tenté d’attirer une nouvelle victime. Fort heureusement, les forces de police sont intervenues à temps, l’empêchant de commettre un nouveau meurtre.
Interrogé, il a tout de suite avoué avoir attiré, tué et caché les corps de 42 femmes au cours de sa course macabre. Chez lui, une machette a été découverte, lui permettant probablement de démembrer ses victimes. Toutes ces femmes ont été tuées de la même façon, entre 2022 et le 11 juillet 2024, pour le dernier en date. Un autre homme a été arrêté, même si nous n’en savons pas beaucoup plus, pour le moment.
La police, vivement critiquée, sous le coup d’une enquête
Les forces de police, dans cette affaire, ont été vivement critiquées. D’ailleurs, des manifestations ont éclaté à proximité du commissariat le plus proche de la décharge… Celui-ci se trouve à 100 mètres seulement, les citoyens ont donc eu du mal à comprendre pourquoi et surtout, comment, les officiers n’ont rien vu en l’espace de deux ans (voire un peu plus). Certains les accusent même d’être de mèche. Une enquête a d’ailleurs été ouverte en ce sens par l’Autorité indépendante de contrôle de la police (IPOA).
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