Le récent déplacement d’António Guterres, secrétaire général des Nations Unies, au sommet des BRICS à Kazan, en Russie, a fait des vagues sur la scène internationale. Son absence au sommet ukrainien dédié à la « formule de paix » a suscité de vives réactions de la part de Kiev, qui considère cette absence comme un choix lourd de signification en pleine guerre russo-ukrainienne.
La présence d’António Guterres en Russie pour assister au sommet des BRICS, a attiré les critiques de la part du président ukrainien Volodymyr Zelensky et de son gouvernement. M. Guterres avait en effet décliné l’invitation de l’Ukraine à participer au sommet de la « formule de paix » initié par M. Zelensky, avant de se rendre en Russie peu après pour rencontrer Vladimir Poutine. Un haut responsable de la présidence ukrainienne a exprimé la frustration de l’Ukraine en indiquant que Zelensky n’avait pas souhaité accueillir le chef de l’ONU après son choix de privilégier la rencontre avec le Kremlin. Ce refus, rapporté par l’agence AFP, met en lumière les frictions croissantes entre l’Ukraine et l’ONU sur l’approche adoptée par l’institution face au conflit.
Lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Kazan, M. Guterres n’a cependant pas hésité à rappeler la position de l’ONU sur le conflit en cours. Ce message ferme, réitéré sur le territoire russe, est une démonstration de la position officielle des Nations Unies, bien que certains observateurs internationaux s’interrogent sur la manière dont ce déplacement pourrait être perçu par les Ukrainiens et leurs alliés.
Ce nouvel épisode diplomatique renforce un sentiment de méfiance de la part de Kyiv à l’égard des choix stratégiques du secrétaire général de l’ONU. Dans un contexte où l’Ukraine cherche à renforcer le soutien international à sa « formule de paix », basée sur le retrait des forces russes et le respect de son intégrité territoriale, l’absence d’Antonio Guterres à ce sommet est perçue comme une prise de distance regrettable. Certains analystes notent que cette absence pourrait affaiblir la position de l’ONU comme médiateur impartial dans le conflit et poser la question de son rôle dans les efforts de paix en cours.
Le choix de Guterres de se rendre à Kazan en déclinant l’invitation de Zelensky est un signal qui pourrait compliquer les efforts de l’ONU pour maintenir une position neutre perçue comme équilibrée. En privilégiant une plateforme multilatérale où la Russie joue un rôle influent, le secrétaire général a pu donner, malgré lui, un sentiment de déséquilibre dans son approche de la crise ukrainienne. Certains observateurs estiment qu’une participation aux deux sommets aurait peut-être permis à l’ONU de réaffirmer son engagement envers la paix en Ukraine sans compromettre sa mission de dialogue auprès de tous les acteurs.




Zèlensky Ambroise regrette d’avoir mordu aux mensonges américains, ces gens qui vous calculent en avance et vous font croire que ça marcher quand ils viennent tester leur mode opératoire chez toi en te disant qu’ils vont te prendre en charge.
Alors la petite souris de Kiev s’est fait enfermer dans le cage d’expérimentation sans connaître les effets secondaires du poison américain prend du temps et te laisse avec des hématomes graves.
Si tu demande aujourd’hui à tout le monde qui avait financé Hitler personne n’est capable de répondre à cela mais voyant la mission suicidaire qui est imposée aux Ukrainiens nous comprenons le mode operandi vient de ce même côté qui viennent jouer les sapeur pompiers. corrompus et n’aiment voir que le sang de la guerre les mensonges est le seul moyen qu’ils utilisent pour détruire d’autres pays en paix.
Selensky sortira de la cage mais pas indemne le pays en ruines et ses soient disant alliés viendront pour se disputer le marché pour reconstruire qui va plonger le pays dans une dette extérieure qui dépassera même les revenus annuels. Voilà l’homme est cuit par ce qu’il appelle amis il faut être malade pour n’est pas comprendre ces choses.
Zelensky a commencé à snober, insulter et provoquer ses plus « fidèles » soutiens. Un manque criant d’intelligence ; la qualité première d’un politique est de savoir avaler des couleuvres – avec le sourire – !
Zélé, c’est juste une comique propulsé à ce poste par les néocons US parce qu’il connaissait déjà le rôle
Si Zélensky commence à perdre les pédales, les prochaines semaines vont être intéressantes
Zélensky n’est, ni un politique, ni un diplomate, ni un stratège militaire.
La guerre, c’est pour du vrai, les acteurs ne se relèvent pas à la fin de la prise pour aller boire un pot ensemble.
Zelensky est un pantin, la marionette de Biden.
Son avenir à court terme, c’est un tas de compost. Recyclage écologique oblige
Pauvre guignol
ZELENSKY EEST UN NIAIS COMEDIEN .