66ème Sommet de la CEDEAO : Olushegun Adjadi Bakari détaille les conclusions

3 réponses

1. 

   Napoléon

   17/12/2024

   Voilà maintenant ta-lon qui boit sa honte. Après avoir foutu tout en l’air il ne va même plus assister aux réunions de la CEDEAO qui va bientôt dispaître. Il envoie le pauvre ministre.
   Comment en est-on arrivé là. Il fallait y penser.
   Des chefs d’État irresponsables, qui prennent des mesures expéditives pour causer la mort des populations, les affamer avec menace de guerre, pour dire après qu’ils veulent préserver la communauté. La CEDEAO a commis l’irréparable et doit disparaître avec. L’intégration des États de l’Afrique de l’Ouest se fera par le rapprochement des peuples et l’anéantissement des frontières héritées de la colonisation.
   Quand les États Unis d’Amérique se séparaient du royaume uni pour acquérir l’indépendance et la souveraineté, ils étaient 13 aujourd’hui 50.
   Les Panafricanistes Révolutionneurs vont tout entreprendre pour amener les 12 autres États restants aujourd’hui dans la maudite CEDEAO dans le giron de la Confédération de l’AES. Et ce sera le noyau dur des États Unis d’Afrique qui se construit allègrement et sûrement.
   La décision de ne plus rester dans l’aliénation et sous la domination du Néocolonialisme français et de l’impérialisme occidental est historique et irréversible. Ce défi est désormais la raison d’être de tous les Africains Noirs. Écrivez-cela.

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   1. 

      The Atlantean

      18/12/2024

      Pourquoi attaques-tu le Président Talon?
      Si la CEDEAO n’est pas un organe valable à tes yeux, avec quoi aimerais-tu la remplacer?
      Ne sois pas étonné si le Niger, Mali et Burkina Faso introduisent « Le Rouble Russe » comme leur devise.

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      1. 

         Napoléon

         18/12/2024

         Le Président Talon ne s’est pas comporté comme un Béninois dans cette affaire de la CEDEAO et le Niger, pays voisin et frère. Pourtant Béninois, nous sommes réputés pour être intelligents.
         En diplomatie, un chef d’État, soucieux des intérêts de sa population ne va produire de l’émotion sur le parquet international, mais il agit rationnellement, calmement avec le sang-froid. Voir le Président du Bénin vociférer des injures et des menaces de guerre envers notre voisin le Niger, nous sommes tombés sur la tête (mais qu’est-ce qui lui arrive ?).
         Le Président incarne le symbole sacré de la République (c’est notre fétiche constituée). Aucun Béninois ne souhaite avec gaieté de cœur que le Président Talon aille exposer toutes ses faiblesses au public international de cette manière-là. Il a des collaborateurs, il a des ministres qui peuvent aller braver pour lui et pour la République ces situations complexes sans que ce ne soit lui-même qui aille souiller le sacré qu’il porte en lui. Mais quand un chef est omnibulé de sa personne, quand il pense avoir la science infuse, c’est le résultat. Maintenant il envoie le ministre aux réunions de la CEDEAO, qui vient faire le compte-rendu à la presse. Pourquoi ne pas procéder ainsi auparavant et causer tant de dégâts irréversibles aussi bien pour nos travailleurs, nos commerçants et pour ceux du peuple ami, les Nigériens.
         Une illustration dans cette affaire montre clairement ce qui caractérise notre Président, l’argent. Il se dit milliardaire, mais il semble toujours courir après l’argent pour lui seul. En effet, les fonds alloués par la CEDEAO et autres organismes pour alléger les manque-à gagner causés par cette affaire à notre peuple, ne sont toujours pas parvenus aux transporteurs, aux travailleurs et aux commerçants qui ont beaucoup perdu dans cette bêtise engendrée par la CEDEAO. Comme les « Fonds-covis et autres donations », jamais le bas-peuple n’en jouis. C’est ce qui caractérise ce régime.
         C’est pourquoi nous condamnons la politique du Président Talon et la manière des procédures de son gouvernement.

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