La récente visite de Volodymyr Zelensky aux États-Unis continue de provoquer des réactions à travers le monde. Un échange particulièrement tendu entre le président ukrainien et son homologue américain, Donald Trump, a marqué ce déplacement. Ce différend a alimenté diverses prises de position, notamment celle de Maxime Bernier, chef du Parti populaire du Canada (PPC), qui a vertement critiqué le dirigeant ukrainien.
Maxime Bernier s’est exprimé sur le réseau social X pour commenter la situation. Affichant son soutien à Donald Trump, il a violemment attaqué Volodymyr Zelensky en des termes peu diplomatiques. « Ce petit morveux a besoin d’une fessée », a-t-il déclaré vendredi soir, ajoutant que les responsables politiques canadiens pourraient subir un traitement similaire s’ils persistaient à défendre une politique qu’il juge dangereuse.
L’ancien ministre canadien a poursuivi son offensive en dénonçant le soutien financier accordé à l’Ukraine. Selon lui, les 20 milliards de dollars envoyés par le Canada représentent une dépense inconsidérée en faveur d’un dirigeant qu’il qualifie de « comique pathétique », incapable de mesurer l’ampleur des conséquences du conflit sur son pays. Ce point de vue, bien que radical, reflète une tendance croissante parmi certaines figures politiques contestant l’implication de leur pays dans l’aide apportée à Kyiv.
Le voyage de Volodymyr Zelensky à Washington s’est achevé de manière abrupte après une confrontation houleuse avec Donald Trump et son vice-président J.D. Vance. Cet épisode a été largement relayé par les médias, notamment en raison de sa diffusion en direct depuis le Bureau ovale comme nous l’avons rapporté dans nos parutions précédentes sur le sujet.
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