Le groupe algérien Iris et le constructeur automobile chinois Chery ont annoncé un projet commun visant à construire une usine ultramoderne de voitures en Algérie. L’accord, signé le 15 mars en marge du forum Algéro-Chinois, constitue un « investissement industriel majeur » dans le secteur automobile algérien.
Cette joint-venture a été conclue entre CARS TECH, filiale d’Iris, leader algérien dans l’industrie pneumatique, et Omida & Jaecoo du groupe Chery. Les deux entreprises décrivent cette collaboration comme « historique » et « une étape décisive vers la création d’une véritable industrie automobile nationale« , avec des retombées économiques significatives pour le pays.
Cinq modèles de SUV innovants prévus
Le partenariat prévoit la production de cinq modèles de SUV innovants :
- l’Omoda C3, un crossover cybernétique au design audacieux ;
- l’Omoda C5, alliant élégance urbaine et confort premium ;
- le Jaecoo J5, un SUV robuste pour l’aventure ;
- l’Omoda C7, redéfinissant les codes du crossover nouvelle génération ;
- le Jaecoo J7, un SUV tout-terrain raffiné combinant puissance et sophistication.
Pour Iris, ce partenariat représente « une diversification stratégique et un accès à l’expertise d’un acteur automobile mondial« , tandis que Chery y voit « une opportunité d’étendre sa présence sur un marché africain prometteur« .
L’expansion de Chery en Algérie
Outre ce projet avec Iris, Chery développe deux autres usines en Algérie. La première sera sous sa marque principale en partenariat avec le groupe algérien ALC, l’autre via sa filiale Jetour en collaboration avec Fondal, filiale de la Société nationale de sidérurgie.
Ce dernier projet représente un investissement de 105 millions de dollars sur cinq ans. Ces initiatives répondent à un besoin crucial dans un pays qui manque de véhicules neufs depuis l’arrêt des importations entre 2016 et 2023, avec un déficit estimé à 1,2 million de voitures.
À l’heure où l’économie mondiale se digitalise à grande vitesse, deux nations ouest-africaines affichent leur volonté de ne pas rester en marge de cette révolution. Le Nigeria et la Gambie entament une nouvelle ère de coopération dans le domaine du numérique, avec pour objectif commun : stimuler la croissance économique, créer des opportunités pour leur jeunesse et favoriser l’émergence d’un écosystème technologique inclusif et durable.
Lors de récentes discussions bilatérales, les autorités nigérianes et gambiennes ont évoqué des pistes concrètes pour faire converger leurs efforts dans le secteur numérique. Le Nigeria, fort de son expérience en tant que géant technologique du continent — avec des pôles comme Lagos en fer de lance — s’est engagé à soutenir la Gambie dans le renforcement de son infrastructure technologique et de son cadre réglementaire.
Un des points majeurs de cette coopération réside dans la proposition du Nigeria d’introduire des politiques incitatives, notamment des exonérations fiscales ciblées pour les jeunes pousses technologiques gambiennes. L’objectif est clair : attirer les investisseurs, encourager l’innovation locale et favoriser les échanges de compétences entre les deux pays.
Mais cette alliance ne se limite pas aux seules infrastructures ou aux mesures fiscales. Elle ambitionne aussi de jeter les bases d’un écosystème numérique régional, dans lequel les talents circuleraient librement, les innovations seraient partagées, et les jeunes entreprises pourraient s’implanter dans un environnement stimulant, au-delà des frontières nationales.
Du côté de Banjul, cette coopération est perçue comme un catalyseur de transformation. La Gambie, bien que plus modeste en taille et en ressources, veut tirer profit de ce partenariat pour former ses jeunes, numériser ses administrations et faire émerger un tissu entrepreneurial capable de rivaliser sur la scène africaine.
À l’heure où l’économie mondiale se digitalise à grande vitesse, deux nations ouest-africaines affichent leur volonté de ne pas rester en marge de cette révolution. Le Nigeria et la Gambie entament une nouvelle ère de coopération dans le domaine du numérique, avec pour objectif commun : stimuler la croissance économique, créer des opportunités pour leur jeunesse et favoriser l’émergence d’un écosystème technologique inclusif et durable.
Lors de récentes discussions bilatérales, les autorités nigérianes et gambiennes ont évoqué des pistes concrètes pour faire converger leurs efforts dans le secteur numérique. Le Nigeria, fort de son expérience en tant que géant technologique du continent — avec des pôles comme Lagos en fer de lance — s’est engagé à soutenir la Gambie dans le renforcement de son infrastructure technologique et de son cadre réglementaire.
Un des points majeurs de cette coopération réside dans la proposition du Nigeria d’introduire des politiques incitatives, notamment des exonérations fiscales ciblées pour les jeunes pousses technologiques gambiennes. L’objectif est clair : attirer les investisseurs, encourager l’innovation locale et favoriser les échanges de compétences entre les deux pays.
Mais cette alliance ne se limite pas aux seules infrastructures ou aux mesures fiscales. Elle ambitionne aussi de jeter les bases d’un écosystème numérique régional, dans lequel les talents circuleraient librement, les innovations seraient partagées, et les jeunes entreprises pourraient s’implanter dans un environnement stimulant, au-delà des frontières nationales.
Du côté de Banjul, cette coopération est perçue comme un catalyseur de transformation. La Gambie, bien que plus modeste en taille et en ressources, veut tirer profit de ce partenariat pour former ses jeunes, numériser ses administrations et faire émerger un tissu entrepreneurial capable de rivaliser sur la scène africaine.
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