Les marchés du Maghreb, en pleine mutation industrielle, attirent de plus en plus de grands groupes étrangers en quête de nouvelles zones d’implantation et de production. Dans cette dynamique régionale, l’Algérie s’affirme comme une destination stratégique, en capitalisant sur sa volonté de bâtir un tissu industriel solide, capable non seulement de répondre aux besoins du marché local, mais également de s’intégrer aux chaînes de valeur mondiales. Cette orientation attire des partenaires internationaux, notamment dans le secteur automobile, où les perspectives de développement sont soutenues par une politique active d’incitation à l’investissement.
À ce jour, treize constructeurs automobiles ont conclu des accords de partenariat avec le ministère de l’Industrie algérien. Ces engagements incluent l’obligation, pour toute implantation industrielle dans le pays, de recourir à des fournisseurs locaux de pièces détachées, sélectionnés à partir d’une base de données officielle. Ce mécanisme vise à renforcer l’écosystème industriel algérien tout en garantissant un niveau de qualité conforme aux exigences du secteur.
Cette stratégie porte déjà ses fruits : environ 120 opérateurs spécialisés dans la fabrication de pièces de rechange ont été recensés depuis l’ouverture de ce segment à l’investissement. Plusieurs initiatives de production locale se mettent en place, allant des faisceaux électriques aux pneus, en passant par les batteries. Des joint-ventures internationales sont en cours de création, à l’instar d’un partenariat algéro-italien qui prévoit l’installation d’une unité dédiée à la production de planches de bord, rétroviseurs et autres éléments plastiques.
Pour accompagner cette montée en gamme, un laboratoire d’homologation des pièces plastiques produites localement est également en cours de réalisation. Ce projet, issu d’un partenariat stratégique entre l’Algérie et l’Italie, a pour ambition de certifier les produits nationaux, en vue d’une éventuelle exportation. La mise en conformité avec les normes internationales représente un levier majeur pour asseoir la crédibilité de l’industrie locale et sécuriser les automobilistes contre les risques liés aux pièces contrefaites ou de mauvaise qualité.
Le ministère de l’Industrie affirme, par ailleurs, sa volonté de simplifier les démarches administratives pour les porteurs de projets dans ce secteur, avec un objectif clair : dépasser la logique de simple assemblage pour instaurer une industrie intégrée, capable de produire des composants entrant dans la fabrication locale de véhicules et de viser, à terme, les marchés extérieurs.




L État algierien n a ni le savoir faire ni le potentiel humain qualifié pour être un sérieux concurrent de notre Royaume…ils ont un demi siècle de retard ..la France vs a quitté et vs continuer à la contempler !!
MDR votre quoi? Au maroc juste importation et montage aucune valeur ajoute Au pays regarde les statistique du departement marocain
Le président Teboun avait dit de l’industrie automobile du Maroc que tout ce que ‘exporte le Maroc c’est l’air contenu dans les pneus et maintenant il cherche à faire comme le Maroc
MDR vous etez drole les marocains voy viveza dans la ilusión
Algérie ne copie pas l’état marocain et larbin de la France…. Pauvre idiot
Algérie ne copie pas l’état marocain sioniste et l**bin de la France…. Pauvre id**t
l’Algérie copie le Maroc 200%. elle veut être le Maroc2
Tu compares celui qui a vendu son âme au grand Algérie?
les investisseurs automobiles viennent en algerie car c’est plus intéressant pour eux investir des usines automobile que au maroc y à rien de faire comme chez vous, c’est marques automobiles font leurs choix, mais la jalousie marocaine toujours là dès que des grands groupes industriels viennent en algerie que chez vous.
le niveau des algériens c le plus fort d Afrique.D ou l intéressement au marché algerien
c le contraire mon bieux
pourquoi est depuis quand l Algérie copie un état sous développé pourquoi il a quoi le Maroc c est le Japon? ou les états unis pffffff
Le vague de fond est ailleurs. Ce qui est rapporté n’est que la partie émergeante de l’iceberg