Lors d’une allocution remarquée au Connecticut Forum de Hartford, mardi soir, Barack Obama a adopté un ton inhabituellement direct pour aborder la situation politique aux États-Unis. En effet, ce dernier a appelé, lors de son discours, à résister face à Donald Trump.
L’ancien président a lancé un appel aux institutions, aux cabinets juridiques, aux universités et aux acteurs des deux bords politiques, les incitant à faire des choix courageux, parfois au prix de sacrifices personnels, pour préserver les fondements mêmes des piliers de la démocratie américaine.
Sans mentionner explicitement Donald Trump, le président en place, l’ancien chef de l’État Barack Obama a averti que le pays se trouvait à un tournant critique, à la lisière d’un virage autoritaire. Il a souligné que chaque citoyen serait bientôt confronté à un choix décisif, devant démontrer par ses actions, mais aussi ses choix et ses votes, son véritable attachement aux principes démocratiques.
Un plaidoyer pour des sacrifices assumés
Obama a détaillé les efforts que certains secteurs devront consentir face aux pressions à venir. Il a évoqué les cabinets d’avocats qui pourraient subir des pertes financières en refusant de se conformer aux attentes de l’administration, ainsi que les entreprises susceptibles d’être visées par des enquêtes ou des obstacles réglementaires en raison de leur positionnement. Il a également insisté sur le rôle clé des fonctionnaires, notamment au sein du ministère de la Justice, comme gardiens des principes constitutionnels face à d’éventuelles dérives exécutives.
Une approche communicationnelle singulière
Cette prise de position, Obama a choisi de la rendre public à l’occasion d’un événement où les enregistrements audio et vidéo étaient interdits, limitant ainsi la diffusion de son message.
Ce choix reflète sa prudence habituelle à commenter directement ses successeurs, respectant les usages présidentiels tout en cherchant à alerter sur ce qu’il considère comme un danger sans précédent pour la démocratie.




Trump a signé avec le diable. Ce sont des sponsors juifs qui ont financé sa campagne électorale, en échange d’un soutien à Israël contre l’Iran. Même si Gabbard dit qu’il n’y a pas de nucléaire militaire en Iran, il DOIT faire comme si !
Trump est dans la nasse et Obama en profite pour l’enfoncer un peu plus. Pas très classe mais un enfoiré restera toujours un enfoiré.
« Barack Obama a adopté un ton inhabituellement direct »
Aux USA, il y a les faucons et les vautours, ce vieux SOB d’Obama fait clairement partie des charognards. Il a attendu que Trump se soit bien mis dans la panade pour se montrer.
« les incitant à faire des choix courageux, parfois au prix de sacrifices personnels »
Et en plus, il demande AUX AUTRES de se sacrifier !
Lui, tranquille, il retourne jouer au golf
Quel empaffé