Alors que la guerre en Ukraine ne montre aucun signe d’apaisement, les initiatives occidentales se multiplient pour pousser la Russie dans ses retranchements. Depuis Bruxelles, la France hausse le ton à la suite des déclarations musclées du président américain Donald Trump, accentuant l’étau diplomatique autour du Kremlin qui a affirmé ce mardi être toujours prêt à négocier avec Kiev.
Le front occidental s’organise
La pression ne vient plus seulement de Washington. À Bruxelles, ce mardi 15 juillet, le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a adopté un ton offensif, affirmant que Vladimir Poutine s’est « engagé dans une impasse » depuis le début du conflit. Il a appelé le président russe à « cesser le feu », tout en annonçant une visite prochaine en Ukraine pour renouveler, sur le terrain, le soutien de la France à Kiev. Cette déclaration française vient renforcer un mouvement diplomatique qui se structure autour d’une coalition occidentale plus déterminée que jamais.
À l’initiative du président français et du Premier ministre britannique, cette coalition cherche à conjuguer ses efforts pour contraindre Moscou à reconsidérer sa position militaire. L’Europe n’est donc plus dans une posture d’attente : elle avance, coordonne, met en garde. L’accent est désormais mis sur la nécessité de contraindre le Kremlin à reconnaître que la stratégie d’usure engagée en Ukraine a atteint ses limites.
Trump fixe un compte à rebours
Ce regain de fermeté intervient dans un contexte marqué par une prise de position inattendue du président américain. Le 14 juillet, Donald Trump a adressé un ultimatum à peine voilé à la Russie, menaçant ses alliés de sanctions douanières lourdes si un accord sur l’Ukraine n’était pas trouvé dans un délai de cinquante jours. Cette menace économique s’ajoute à la décision américaine de fournir à l’Ukraine de nouveaux systèmes de défense antiaérienne. Ce double levier, économique et militaire, redéfinit le rapport de force et renvoie à une méthode déjà éprouvée par Trump : frapper là où cela fait mal, tout en laissant ouverte une porte de négociation.
Face à cette posture résolue, le Kremlin a réagi avec prudence. Moscou dit rester ouvert à des négociations, tout en reconnaissant avoir besoin de temps pour évaluer la portée des déclarations du président américain. Cette réaction mesurée suggère une gêne, voire une perte de maîtrise face à une dynamique occidentale qui échappe désormais aux logiques anciennes d’endiguement passif.
La diplomatie européenne passe à l’offensive
Le choix de Jean-Noël Barrot de se rendre en Ukraine le 21 juillet est loin d’être symbolique. Il s’inscrit dans une nouvelle approche plus directe de la diplomatie française, où le soutien ne se limite plus aux déclarations de principe. À travers ce déplacement, la France entend réaffirmer sa solidarité sans équivoque avec la résistance ukrainienne, tout en consolidant son rôle dans les discussions stratégiques européennes.
Dans le même temps, l’Union européenne examine un nouveau train de sanctions à l’égard de la Russie. Le ministre français ne cache pas son espoir de voir ce paquet de mesures adopté rapidement, afin d’augmenter la pression sur Moscou de manière concrète et coordonnée. Il s’agit de multiplier les signaux clairs pour convaincre Vladimir Poutine que la persistance dans l’impasse ne peut aboutir qu’à un isolement grandissant.




»…Poutine : après Trump, la France augmente la pression… »
Quelle France ?
Mdrrrrrrrrrrrr🤣🤣🤣
Cette bande de bouffons!
La vociférations du clown Barrot et du minet Micron, les Russes les passent dans leurs émissiond humoristiques
Bojo, Truss, Séjourné, Barrot, Baerbock … à croire que les européens ont mis sur pied un con-court du diplomate le plus arriéré
Avec Baerbock et son célèbre « virage à 360 degrés » et Truss qui va à Moscou en confondant la Mer Noire avec la Baltique, les filles tiennent la corde.
Barrot reste en embuscade. C’est le seul encore en poste et il pourrait ENCORE nous surprendre.
Moi, il n’a fait QUE me surprendre. Je ne pensais pas voir un jour un diplomate ignorer à ce point en quoi consiste sa charge !
Ca fait penser à ce gouvernement africain avec ce caporal qui ne se souvenait plus de quoi il avait été nommé ministre !
Pourquoi le petit coq gaulois voudrait marcher dans les sillons des Américains? Personne ne rêve faire une politique étrangère en imitant une grande puissance. La politique étrangère de l’Hôtel Matignon « Macron » a toujours été une politique sans tête ni queue. Et c’est évident depuis l’entrée de Emmanuel Macron à l’Élysées, et récemment il a insulté les africains en leur disant en pleine face « pour être respecté il faut être craints », ce qui signifie, personne ne vous respecte, vous n’êtes pas une grande puissance. Macron a cette tendance de dire haut ce que certains pensent dire tout bas.
Bravo Macron!
J-N Barrot. ZERO compétence en diplomatie. ZERO expérience en diplomatie !
Que fait ce bouffon à la tête du ministère des Affaires Etrangères
Belle tronche de garçon boucher sociopathe, par contre !
J’aime bien les oreilles décollées, un peu comme les aérofreins du Rafale !
« la France augmente la pression »
Tu parles … la France s’enfonce dans son délire de camés … on parle de produits non autorisés à l’Elysée. C’est de +en+a la seule explication qui tienne la route
Poutine : après Trump, la France augmente la pression : Trop drôle 🤣😂🤣
après l’ultimatum mort-né de Macron, Starmer et Merz à Poutine, voici l’ultimatum-cadeau de 50 jours de Trump… Une belle façon de dire aux Européens et Zelensky de lui coller la paix un bout de temps avec leurs histoires d’attaque massive de la Russie sur l’Ukraine.
Mais il faut toujours que le petit roquet des USA passe derrière son maître pour jouer faire wouf wouf et faire croire qu’il a une influence dans les décisions .
Poutine va claquer les dents de peur avec la pression de ce ballot de Barrot
J’ai du mal à comprendre les européens!!! On ne décrète pas un cessez le feu comme ça.
Dans une guerre, il y a toujours un perdant et un gagnant. Et c’est sur le champ de bataille qu’on trouve les deux. Le perdant s’en sort toujours affaibli et dépossédé. C’était vrai hier, et ce serait encore vrai aujourd’hui et demain. Il ne faillait tout simplement pas commencer ce conflit.
Que ce soit TRUMP ou toute l’Europe ils n’ont pas les moyens militaires même économiques d’affaiblir la Russie. POUTINE a des partenaires sûrs, il ne va pas céder aux chantages.
S’il n’y a pas de diplomate chevronné capable de trouver une solution en occident, alors l’armée russe va continuer à avancer. Et les aboiements ne changeront rien.
Le principe de la guerre, c’est que c’est le survivant qui dicte sa loi.
Les européens sont tellement déconnectés du réel qu’ils ne comprennent même plus ça ! Ces débiles profonds pensent pouvoir imposer leur vue à un pays qui les défonce jour après jour après jour !
Ca relève de la psychiatrie !
Les Russes ont du mal. Ils n’ont PERSONNE de RAISONNABLE à qui parler.