Depuis son investiture, Donald Trump multiplie les tentatives d’ouverture diplomatique avec Vladimir Poutine dans l’espoir de parvenir à un cessez-le-feu en Ukraine. Cependant, l’administration américaine dénonce désormais ce qu’elle perçoit comme une manipulation orchestrée par Moscou.
Le président américain exprime sa frustration face à cette diplomatie à double-face : alors que le Kremlin affiche publiquement sa disposition au dialogue, les forces russes intensifient parallèlement leurs bombardements sur le territoire ukrainien. Cette contradiction flagrante a poussé Trump à fixer un ultimatum de cinquante jours à la Russie pour démontrer concrètement ses intentions pacifiques, sous peine de voir s’abattre de nouvelles sanctions économiques.
La Russie maintient son discours
Les autorités russes, quant à elles, maintiennent leur discours sur la recherche de solutions diplomatiques tout en défendant leurs intérêts stratégiques. Dmitri Peskov, porte-parole officiel du Kremlin, a récemment réaffirmé la disposition de Vladimir Poutine à explorer les voies de règlement, tout en précisant que Moscou entendait préserver ses objectifs fondamentaux dans ce processus.
La rhétorique russe face aux pressions américaines
Les responsables russes analysent avec attention les déclarations parfois véhémentes de l’administration Trump, qu’ils qualifient de caractéristiques du style présidentiel américain. Peskov souligne néanmoins que Washington semble maintenir sa volonté de trouver un terrain d’entente malgré la fermeté du ton. Le porte-parole insiste sur la complexité inhérente à toute résolution du conflit ukrainien, décrivant les négociations comme un processus « laborieux et exigeant » nécessitant du temps et de la patience.
L’accent est mis sur la nécessité pour la Russie d’atteindre ses « objectifs clairement définis« , sans pour autant les détailler publiquement. Cette position suggère que Moscou conditionne tout accord de paix à la satisfaction de ses revendications territoriales et sécuritaires. Les autorités russes estiment par ailleurs que Washington commence à saisir la véritable ampleur des défis posés par une résolution durable du conflit.
Une rencontre au sommet, bientôt prévue ?
Le Kremlin confirme l’utilité d’un dialogue direct entre les deux dirigeants, tout en restant évasif sur le calendrier d’une éventuelle rencontre. Les responsables russes évoquent la possibilité d’aboutir à des « accords substantiels » lors d’un sommet bilatéral, sans préciser les domaines concernés ni les concessions mutuelles envisageables.




Putin écoute Trump poliment mais n’a pas changé de discours depuis 2 ans.
Trump change d’avis 2 fois par jour en fonction du dernier lèche-Q qui lui a parlé. Ensuite il accuse Putin de double discours.
Trump est un cas classique en psychiatrie : schizo, marcissisque et bipolaire. Faut le laisser parler et attendre qu’il change, un fois de plus, d’avis
Les Russes savent ce qu’ils veulent et l’auront par la diplomatie ou par les armes. Trump l’a compris et ça le rend fou. Zélensky, camé 7/24, est toujours dans le brouillard
« Trump l’a compris et ça le rend fou »
Je ne crois pas. Il n’aime pas qu’on lui résiste mais il est plus dans le show pour calmer les imb**les US qui veulent des droits de douane à 500% pour tout le monde … puisque tout le monde achète du pétrole russe, y compris les européens. Complètement ridicule !
« Le président américain exprime sa frustration face à cette diplomatie à double-face »
TOUT FAUX. Putin n’a pas varié d’un pouce, il reste juste poli face à un gars qui veut jouer les médiateurs alors qu’il soutient activement l’Ukraine. CA NE TIENT PAS DEBOUT.
Trump est schizo, bipolaire, narcissique … Les Russes doivent discuter avec un taré qui change d’avis en focntion du dernier qui a parlé.