L’administration Trump a annoncé début juillet l’imposition de droits de douane de 30 % sur les importations européennes, accusant l’Union européenne de tirer un avantage excessif des États-Unis et de créer un déficit commercial préjudiciable à Washington. Bruxelles a fermement rejeté ces accusations, dénonçant une analyse erronée des échanges bilatéraux.
Cette escalade risque de déclencher une guerre commerciale d’une ampleur inédite, susceptible de briser l‘entente cordiale transatlantique et d’entraîner une inflation galopante, une hausse incontrôlée des prix pour les consommateurs, ainsi que la fermeture d’entreprises dépendantes du marché américain.
Face à cette offensive tarifaire, l’Union européenne élabore une stratégie de riposte graduée visant initialement les produits emblématiques américains comme l’aéronautique, l’automobile et les spiritueux.
Cependant, les responsables européens envisagent d’étendre leurs contre-mesures au secteur des services, notamment les technologies numériques et les services financiers, par le biais de restrictions d’accès aux marchés publics européens.
Une approche française plus radicale
Paris plaide pour une réponse plus énergique en préconisant l’activation de l’Instrument anti-coercition (ACI), surnommé le « bazooka » commercial européen. Benjamin Haddad, ministre français des Affaires européennes, a insisté sur la nécessité de démontrer « force, unité et détermination » face aux pressions américaines.
L’ACI, adopté en 2024, constitue l’arsenal le plus puissant de l’UE contre les pratiques coercitives économiques. Cet instrument permet d’imposer un large éventail de sanctions :
- interdiction d’importation de produits spécifiques,
- suspension d’autorisations d’exercer,
- limitation des investissements étrangers ou restriction d’accès aux marchés publics.
Entre négociation et escalade
Malgré les préparatifs de riposte, Bruxelles maintient l’espoir d’une solution négociée avant l’échéance du 1er août. Maros Sefcovic, négociateur commercial principal de l’UE, s’est rendu à Washington pour des pourparlers de dernière chance. Ursula von der Leyen a toutefois tempéré les ardeurs françaises, rappelant que l’ACI reste réservé aux « situations exceptionnelles » et que cette phase critique n’est pas encore atteinte. Bruxelles privilégie donc la diplomatie et la signature d’un accord commercial sur les bases de ce qu’a pu signer Londres, pour sortir de cette impasse.




« l’aéronautique, l’automobile et les spiritueux »
Ben mon cochon, ça va faire mal ! Tous ceux qui voulaient acheter un Hummer sont sur les dents !
La dernière fois que j’ai bu du J@ck D@niel’s, c’était en 1987.
Je demande encore pardon à mes amis écossais ! Je ne le ferai plus
Il est où @@ ? Il s’est fait greffé un cerveau ?
Seulement un lobe, l’autre est réversé par Atlantine
Mais ça va déjà bien améliorer les choses
La greffe a pas pris, c’était un cerveau de babouin, trop gros pour sa callebasse. Pression intra-crânienne trop élevée. Le taux d’hématocrite était très correct par contre
Dans la mesure ou les Otaniens se prennent taule sur taule en Ukraine, je comprends qu’il prenne un peu de recul ! Et puis la petite PéDale batave qui appelle Trump Daddy, c’est à peine soutenable, même pour lui !
C’est vrai que le Rute, il chie pas la honte. Un de ces jours on va le trouver à 4 pattes à attendre une caresse de son maimaitre en remuant la queue
Bof, leur 737 se crashe tout le temps de toute façon