Le chancelier allemand Friedrich Merz a affirmé que des discussions étaient en cours pour organiser une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, soulignant que celle-ci pourrait se tenir d’ici deux semaines. Cette perspective intervient alors que plusieurs dirigeants occidentaux poussent à la tenue d’un dialogue direct afin d’explorer les conditions d’une trêve dans la guerre en Ukraine.
Une échéance avancée par Berlin
Lors d’échanges à l’issue du sommet de Washington, le dirigeant allemand a indiqué que l’idée d’une rencontre entre les présidents russe et ukrainien avançait rapidement. Selon lui, une fenêtre de quinze jours est envisagée pour tenter d’organiser cette réunion. Le calendrier précis, le lieu ainsi que le format de l’éventuel face-à-face restent cependant à définir.
Cette déclaration contraste avec les propos du président ukrainien, qui a rappelé qu’aucune date n’était fixée. Les États-Unis ont également confirmé travailler à l’établissement d’un cadre de négociation. Plusieurs observateurs estiment que ce processus pourrait s’inscrire dans la continuité des discussions déjà amorcées entre l’Ukraine, les alliés occidentaux et la Russie, ce qui laisse la porte ouverte à un format élargi.
Un contexte diplomatique sous tension
L’annonce du chancelier s’inscrit dans un climat marqué par plus de trois ans de conflit en Ukraine, déclenché en février 2022 par l’offensive russe. Depuis, de multiples tentatives de médiation ont été initiées par l’Union européenne, les États-Unis et d’autres partenaires internationaux.
L’éventualité d’une rencontre entre les deux dirigeants suscite une attention particulière, car elle pourrait marquer une étape inédite dans les efforts diplomatiques. Plusieurs capitales européennes voient dans cette perspective un moyen de relancer un dialogue direct, même si la réussite de telles discussions demeure incertaine. Pour certains analystes, le rôle de l’Allemagne dans ce processus confirme son implication croissante sur le dossier ukrainien. À ce stade, les déclarations de Berlin fixent un horizon mais ne garantissent pas encore la tenue effective de cette rencontre.




Berlin, c’est du sous-boche !
Qu’ils aillent s’asseoir sur le casque à pointe de leur grand-père.
Tellement que ce chancelier Allemand fait honte à l’intelligence des Allemands. Il est pathétique. L’Allemagne a enclenchée sa descente aux enfers avec ce vaurien . Espérons un sursaut du parlement pour mettre en minorité ce clown.
Cherchez l’erreur
F;e;r;m;e;s la! vieux garçon de courses.
A;b;r;u;t;i ! que connais tu de la Bundestag
Du bist nutzlos
Quel con ce @ScheiBe.
Cass’toi ; pauv’con.
Lire : pauvr’con.
Un autre idiot du coin .
Cherchez l’erreur
Tu oublies Merkel … Elle a fait peu de boulettes mais c’était des grosses.
Et tout le monde a déjà oublié la sauccisse de foie
l’AfD a tout compris … Merx essaie de le mettre sous cloche en tant que « parti extrémiste » …c’est quand même 25% de l’électorat
J’aime bien l’autre, Sahra Wagenknecht !
Extrême gauche mais tout ce qu’elle dit est intelligent !
Cherchez l’erreur
L’erreur est tout trouvée. Les partis historiques de gouvernement en Allemagne ont atteint les limites de la médiocrité. Le temps d’une nouvelle ère avec les partis d’extrême droite ou gauche pour une étude comparative de gouvernance. Ce que nous disons concerne aussi la France où un désordre terrible s’y déroule au sommet de l’Etat .
Malheureusement.