En juin 2025, le Moyen-Orient a été secoué par un affrontement éclair entre Israël et l’Iran, surnommé la « guerre des douze jours » (13–25 juin). Ce conflit, marqué par des frappes aériennes massives et des échanges de missiles, a débuté par une offensive israélienne ciblant les infrastructures nucléaires iraniennes, notamment le site ultra-protégé de Fordo, enfoui à 80 mètres sous terre.
Soutenu par les États-Unis, Israël a mené des frappes préventives pour neutraliser les avancées nucléaires de Téhéran, tandis que Washington a directement bombardé des cibles stratégiques, dont Fordo, symbole de la détermination occidentale. L’opération israélienne « Lion qui se lève » et l’intervention américaine « Marteau de Minuit » ont visé à paralyser le programme iranien, aboutissant à un cessez-le-feu imposé par Donald Trump le 23 juin, présenté comme une « victoire totale ».
Malgré l’annonce d’un arrêt des hostilités, les interprétations des dégâts restent contradictoires : Téhéran minimise les pertes, assurant que son programme nucléaire reste intact, tandis que Washington et Tel-Aviv affirment avoir infligé des dommages irréversibles. L’AIEA a confirmé des destructions majeures, sans contamination radioactive, apaisant les craintes humanitaires immédiates.
Des évaluations divergentes et des enjeux diplomatiques
Au sujet de ce conflit, Israël vient tout juste de partager, avec la France, un rapport confidentiel nuancé, remettant en question l’optimisme américain. Selon des sources proches de l’Élysée, bien que les sites de Fordo et Natanz aient été sévèrement touchés, l’Iran conserverait des réserves de matériel lui permettant une reconstruction progressive.
Les analystes israéliens estiment que la reprise du programme sera lente, mais que la menace persiste à moyen terme, prouvant la résilience du régime iranien. Ces révélations interviennent alors que les États-Unis ont rompu leur coopération en renseignement avec l’Europe sur ce dossier, laissant Paris dépendre des données israéliennes pour évaluer les risques.
Une région sous tension, une Europe en première ligne
Ce partage d’informations devient crucial pour l’Europe, désormais privée du soutien américain. La France, acteur central des négociations, s’appuie sur ces éléments pour plaider en faveur d’une reprise des pourparlers multilatéraux et éviter une escalade incontrôlée. Pourtant, les frappes, bien qu’ayant retardé les ambitions nucléaires iraniennes, risquent d’alimenter une course aux armements régionale, l’Iran appelant à une réponse renforcée, menaçant l’équilibre déjà très fragile de la région.

« Israel est devenu le hors-la loi du Moyen-Orient. Israel bombarde à volonté n’importe quel pays qu’il juge hostile à sa survie. »
Israël est hors-la loi depuis 1947.
Israel bombarde tous les pays qui l’empêche de devenir le Grand Israël, le pays élu qui domine la terre ! (étonnant la collusion avec les USA qui se disent aussi l’Hégémon)
Et avec le soutien économique et militaire des USA, l’Israel est devenu le hors-la loi du Moyen -Orient. l’Israel bombarde à volonté n’importe quel pays qu’il juge hostile à sa survie. Ainsi l’image de l’Israel est ternie à travers le monde entier. Certaines grandes puissances qui avaient haussé le ton pour décrier le traitement inhumain des Palestiniens, l’Israel s’exclame et crie: Anti-Sémitisme! jugeant ainsi que toutes ses actions militaires sont justes et sans reproche.
Quelle arrogance!