Depuis le début de la guerre en Ukraine, en février 2022, le conflit s’enlise, façonnant toujours l’équilibre géopolitique mondial. Défendue par Vladimir Poutine, cette offensive a provoqué des milliers de morts, des crises économiques et un isolement croissant de la Russie sur la scène internationale.
Malgré certains échecs militaires et les sanctions ciblées, Moscou persiste dans sa ligne dure, refusant toute concession. Pourtant, des signes de dissension émergent parmi les cercles du pouvoir, où des figures historiques commencent à remettre en question la poursuite des combats.
Un proche de Poutine dit stop
Parmi elles, Dmitri Kozak, proche collaborateur de Poutine, incarne cette friction interne. Son geste récent, perçu comme une prise de distance, révèle les tensions grandissantes au sommet de l’État. Une fissure qui, même discrète, interroge sur la cohésion du régime face à un conflit aux conséquences imprévisibles.
Dmitri Kozak ou la démission d’un pragmatique
Originaire d’Ukraine et ancien vice-Premier ministre (2008-2020), Kozak a bâti sa carrière aux côtés de Poutine, depuis leur collaboration à Saint-Pétersbourg dans les années 1990. Juriste avisé, il s’est toujours distingué par son pragmatisme, n’hésitant pas à alerter sur les dangers d’une escalade en Ukraine. Ses réserves, bien que modérées, lui ont valu un recul progressif dans l’appareil d’État, au profit de figures plus alignées, comme Sergei Kirienko.
Son départ officiel, annoncé pour le 19 septembre 2025, marque une rupture. Selon des sources proches, il se tournerait vers le privé, un choix qui pourrait traduire son rejet d’un système verrouillé par la guerre. Cette démission, loin d’être anecdotique, scelle l’échec de ses tentatives de médiation et de réformes. Des propositions restées lettres mortes face à l’intransigeance du Kremlin.
Un symbole des fractures au sein du pouvoir
Ce départ d’un si proche de Poutine pourrait, selon certains experts, inspirer d’autres critiques à s’exprimer de manière indirecte, en prenant le même chemin que Kozak. Publiquement, le Kremlin garde la main sur le débat public, mais des décisions lourdes de sens, comme une démission de certains cadres, pourraient avoir une portée dépassant le cadre du seul symbole.




Quelle grande classe dans ces échanges!
C’est quoi, l’info ? Le mec est né en Ukraine même s’il a un passeport russe !
C’est une guerre civile à la base sauf que la CIA et Biden ont instrumentalisé le truc pour tenter de renverser le pouvoir en Russie !
« un isolement croissant de la Russie sur la scène internationale »
Fallait la oser, celle-là ! Il a 4 milliards de « copains », Poutine. Ca veut dire 3.999.999.999 de plus que Macron !
🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣
Pour un fils de Harki, tu parles bien notre langue.
« cette offensive a provoqué des milliers de morts »
Ca se chiffre en MILLIONS, tu débarques ou quoi ?
« Moscou persiste dans sa ligne dure, refusant toute concession. »
Je vais te donner un bon conseil, petit pigiste à deux balles, quand tu tiens le bâton m€rd€eux par le bon bout, c’est surtout pas le moment de faire des concessions.
Comment traduis tu cela en patois Harki Hallal ?
Facile : « Va te faire ENKULER, petit Frouze »
c’est tout.
ça donne quoi en patois du désert.
« le conflit s’enlise »
Il sont débiles ou quoi. ces pigistes ? ? ? ?
Quand vous rabâchez la propagande occidentale. Ayez un peu de discernement dans le traitement de l’information.
Cherchez l’erreur
Dis nous où est l’erreur STP ?
parce que j’ai beau regarder je ne vois pas où se trouve l’erreur.
« Le conflit s’enlise », c0nn@rd !
Mais c’est pas la seule erreur ; ta mère a oublié de tirer le bouchon du bidet
Le fils a b r u t i de harki se déchaîne. Ton père a toi a été fusillé par les gourbis.
Continue de t’exprimer en Français pour qu’on rigole. Ton papa de substitution est Poutine.
Le b*a*ta*r*d ne parle même pas russe.